**** *creator_lesagedorneval *book_lesagedorneval_ilegougou *style_prose *genre_comedy *dist1_lesagedorneval_prose_comedy_ilegougou *dist2_lesagedorneval_prose_comedy *id_LESAGAMO *date_1720 *sexe_masculin *age_mur *statut_maitre *fonction_pere *role_lesagamo Coquinec ! Brutalec serec empalec ! Etrangec consolec, consolec, serec contentec. Léandrec serec traitec honorec…Impolitec, non répondec ! Arlequinec, mangerec et boirec splendidec. Déchainec étrangec ! Laissec, laissec ! L'actionnec partec d'affectionec ! Voulec traitec étrangec commec ma personnec. Voulec. Divinec Argentinec, coeurec est enchantec de possédec si précieusec trésorec ! Brillantec soleilec d'orientec, voyec esclavec. Recevec manec et couronnec. Ingratec ! Répugnec à m'épousec ? M'insultec ! Tropec modestec ! Non raillec, non raillec. Pouponec méritec de régnec ! Souffrec baisec manec. Pendardec ! Donnec soufflec à ma personnec ! M'étonnec… Ha, ha, ha ! Adorec, adorec ! Grincec dentec. Eprouvec, éprouvec. Adiec reinec ! Ha, ha ! Non me croyec si prochec ! Plaisantec laidronec pour m'apellec monstrec ! Aprendrec à parlec mijaurec ! Lutinec ! Durec, durec. Entrainec carognec dans l'Îlec Noirec. Fessec et tourmentec commec méritec ! Tuec, tuec ! Massacrec friponec ! Pardonnec, pardonnec ! Oh ! Serec maîtrec ! Accordec. **** *creator_lesagedorneval *book_lesagedorneval_ilegougou *style_prose *genre_comedy *dist1_lesagedorneval_prose_comedy_ilegougou *dist2_lesagedorneval_prose_comedy *id_TOURMENTINE *date_1720 *sexe_feminin *age_mur *statut_maitre *fonction_mere *role_tourmentine Avertic, faitic réflexionic ? Voulic m'épousic ? Ha, ha, méprisic charmic ? Insolentic ! Oh, bien ! Seric dévoric ! Amenic crocodilic ! Non voulic attendric ! Non périric si subitic ! Enragic ! Préparic tourmentic plus terribilic que millic mortic ! Accourric lutinic ! Transportic l'ingratic dans l'Ilic Noiric ! vengic coeuric outragic. Infortunatic Tourmentinic ! Lutinic raportic que toutic tourmentic non fléchic l'ingratic ! Fiertic triomphic ! Non d'avantagic m'outragic ! Tranchic jouric à misérablic ! Que vois-je ? Léandric m'aimic ? Me maudissic et m'aimic ? Entendic non aimic mais voulic s'épargnic peinic. Lutinic allic ramenic Léandric. Bonic, bonic, patric en seric transportic de plaisic ! Raportic Léandric, Argentic, et Marinetic. Obligic, obligic ! Ah, fourbic, rendic Diamantic. Secouric lutinic ! Reportic coquinic ! Qui a découvric secretic ! Etranglic, étranglic scélératic ! **** *creator_lesagedorneval *book_lesagedorneval_ilegougou *style_prose *genre_comedy *dist1_lesagedorneval_prose_comedy_ilegougou *dist2_lesagedorneval_prose_comedy *id_CARABOSSE *date_1720 *sexe_feminin *age_mur *statut_maitre *fonction_mere *role_carabosse Non mangeoc ! Non mangeoc ! Non mangeoc ! Caroc Arlequinoc t'adoroc ! Impudentoc ! Regardoc visageoc désiroc épousoc ! Ô ingratoc ! Gougou, Gougou ! Déterminoc ! Plus souffroc, plus maudissoc. Massacroc, massacroc ! Et Arlequinoc pour Carabossoc ? Sagamo ! Gougou ! **** *creator_lesagedorneval *book_lesagedorneval_ilegougou *style_prose *genre_comedy *dist1_lesagedorneval_prose_comedy_ilegougou *dist2_lesagedorneval_prose_comedy *id_LEANDRE *date_1720 *sexe_masculin *age_mur *statut_maitre *fonction_pere *role_leandre Ah ! Ouf ! Hen ! **** *creator_lesagedorneval *book_lesagedorneval_ilegougou *style_prose *genre_comedy *dist1_lesagedorneval_prose_comedy_ilegougou *dist2_lesagedorneval_prose_comedy *id_ARLEQUIN *date_1720 *sexe_masculin *age_mur *statut_maitre *fonction_pere *role_arlequin Ahi ! Siamo perduti ! Les vilaines manchettes ! Hélas ! Que va-t-on faire de nous ? Hiaouf ! Je vous l'avais bien dit, Monsieur, qu'il nous arriverait malheur à la fin ! Vous n'avez jamais voulu me croire et voilà ce que votre opiniâtreté nous attire ! Oui, je sais bien que l'amour fait faire bien des choses. Je le sens comme vous, puisque ma chère Marinette a été prise par des corsaires avec Argentine, votre maîtresse. Mais il y a une fin à tout. Nous les avions cherchées d'île en île, pendant près de deux ans, au travers de mille dangers, craignant, à chaque moment, la griffe des pirates et la gueule des merlans. N'en avions-nous pas assez fait et n'étions-nous pas en droit de nous retirer honnêtement ? Pas pour un diable ! Vous ne voulez écouter aucune raison et, ne suivant en tout que votre chienne de fantaisie, vous vous enfoncez follement dans des mers inconnues, où vous ne deviez pas moins attendre que ce qui vous est arrivé. Nous voilà bien avancés ! J'avais grand tort, n'est-ce pas, de vous marquer ma défiance sur toutes les amitiés que nous fit dernièrement le génie Beninguet en nous recevant chez lui ? Je vous dis, mon cher maître : « J'ai peur que le génie ne nous joue d'un mauvais tour, il y a cinq cent mille diables qui se mêlent de ses affaires ; il n'y a rien de bon à attendre de ce drôle-là. — Ah, mon pauvre Arlequin, me répondîtes-vous, que tu juges mal de Beninguet ! Son air, ses manières engageantes, sa compassion dans nos malheurs, les fêtes qu'il nous donne, tout cela ne doit-il pas te rassurer ? — Monsieur, vous répliquai-je, c'est peut-être une sirène qui nous flatte pour nous étrangler. — Bien loin de cela , Arlequin ! Il me fait équiper un vaisseau bien meilleur que le mien, et il vient de me dire les larmes aux yeux : Seigneur Léandre, mon cher ami, je suis bien fâché de vous quitter, mais l'intérêt de votre amour l'emporte sur le plaisir que j'ai de vous voir. Partez. Abandonnez-vous encore aux flots. Vous devez bientôt retrouver votre Argentine et l'arracher des mains du tyran qui la tient en esclavage... » Ne vous voilà-t-il pas dans un bel équipage ? Pour cela, vous auriez besoin vous-même d'un Roland pour vous tirer des pattes ou nous sommes tombés. Allez, allez, Beninguet et les coquins qui nous ont pris s'entendent comme larrons en foire. Que diable signifie cela ? Quelles physionomies ! Come mi chiamo ? Arlequin magna tutto. Ah, malheureux ! Que faites-vous ? Excusez, excusez, grand Magot ! C'est la manière dont on salue dans notre pays. Mon maître s'appelle Léandre, gentilhomme italien. Bon début, ma foi. Heu ! Pardonnez-lui, Seigneur Masago. Il ne peut vous répondre parce qu'il est muet. Remerciec, votrec seigneuriec ! Oh, le brave homme ! Oui entendez-vous ? J'affectionne le magot, c'est pourquoi je veux l'embrasser ! Entendez-vous bien ce qu'on vous dit ? Allons, dépêchez-vous de nous donner à manger ! Oui, grigou. Hé bien, Monsieur, qu'en dites-vous ? Croyez-moi, mettez vos soupirs au croc pendant quelques jours et n'altérez point votre santé gratis. Nous ne savons ni quand ni comment nous sortirons d'ici, cela est vrai ; mais chaque jour suffit de son mal. Ne sommes-nous pas encore trop heureux d'être tombés avec de braves sauvages comme ceux-ci ? Oh, n'appréhendez rien. Allez, Monsieur, c'est une bonne pâte d'homme que ce magot ! Avez-vous pris garde avec quelle humanité il a dit : « Arlequinec mangerec et boirec splendidec » ? Nous allons être régalés ici comme des princes. Tenez, voyez-vous déjà comme les officiers se démènent pour exécuter les ordres de leur maître ? Ah, morbleu, que je vais bien m'en donner ! Prends un siège Cinna. Mangez, Monsieur, mangez ! Vous ne savez pas qui vous mangera. Oui vraiment, ce Samago sera fâché si vous ne faites pas honneur à son vin. À propos, goûtons un peu de ce vin. Quelque part que puissent être nos maîtresses, il ne leur servira de rien que nous mourions de faim. Allons, Monsieur, à leur santé ! Gougou, Gougou, Avalou. Oui, oui, hé, hé, hé, cela est de bon goût et j'avale aussi. Qu'est-ce que ce Gougou ? Ha, ha, il est bien aise que je fasse bonne chère ! Ma foi, votre Dieu est bon diable ! À sa santé ! Voilà des possédés ! Hé, pourquoi donc cette cérémonie ? Que viennent faire ceux-ci ? Prenez. Monsieur ! N'entendez-vous pas que c'est pour vous faire honneur ? « Honorac ». Donnez, donnez. Je ne suis pas si difficile moi ! Mais qu'est-ce que c'est que ce collier ? J'entends c'est le collier de l'ordre du Gougou. Bon, bon, honorac. Hé bien, à quoi nous destine-t-on à présent ? Que dites-vous ? Miséricorde ! Le Diable t'emporte avec ton réjouissac ! O, poverto me ! Ah, le traître de Magot et le perfide Beninguet ! Réjouissic, réjoussic ! Et non pas réjouissac ! Allic, allic, saluic Tourmentic ! Ah ! Messieurs les coquins, vous vouliez nous faire croquer par votre vilain Gougou ! Hé, vous en aurez ! Quel diable de pays pour le jargon ! Ac, ec, ic, oc, uc, on parle ici les cinq mères langues ! Qu'avez-vous donc ? Tout est perdu ? Tourmentine s'est dédite apparemment. Quoi donc ? Elle veut bien vous sauver la vie ? Hé, que diable vous faut-il encore ? Aux conditions que vous l'épouserez ? Eh bien, voilà une belle affaire ! Épousez-la ! Pour moi, j'épouserais quatre femmes toutes à la fois pour me sauver la vie ! Vous voulez être fidèle à Argentine et l'épouser sans doute quand le Gougou vous aura avalé ? Hé ! Qu'importe qu'elle soit magicienne, et son père sorcier ! J'épouserais le Diable plutôt que de me laisser manger comme un sot. Que j'épouse donc Carabosse, la suivante de Tourmentine, qui ne me rachètera la vie qu'à ce prix-là ? Très volontiers ! Quoi que vous puissiez dire de sa laideur, cela ne me rebutera pas. Elle est dégoûtante, elle ferait peur à un Suisse. Tout ce qu'il vous plaira. Je veux vivre et je la prendrai pour femme ! Non vraiment, Monsieur, je n'oublie pas pour cela Marinette, mais je cède à la nécessité ! Si je suis croqué, je ne pourrai pas l'aller délivrer, comme je le ferai quelque jour. Oh ! Tiroc ! Tiroc ! C'est que vous me faites venir l'eau à la bouche. Oh ! Ma foi, Monsieur, il n'y a envie de vivre qui tienne ! Je crois que je me dédirai ! Apaisic colèric ! Donnez-lui le temps de se reconnaître. Il vous aimera peut-être à la fin. Noc ! Hoïmé ! L'affreuse bête ! Un moment, Madame Carabosse, un moment ! Partou Gougou ! Si vous vouliez ne me point faire de mal en me mangeant. Ahi ! Oh ! Je veux bien qu'il m'avale mais je ne prétends pas qu'il ouvre la gueule ! Ma foi, épousoc ou mangeoc, je ne sais lequel vaut le mieux, je jetterais cela à croix à pile ! Hé bien, péric crudélic ! Vous avez raison, Monsieur, périssons ! Nous ne souffrirons qu'un instant et, avec ces diablesses-là, nous mourrions cent fois par jour ! Oui-da, monsieur ! Je veux bien vous montrer le chemin. Vous allez voir quel bon coeur de valet vous aviez en moi. Mais, Monsieur, je fais réflexion que j'allais commettre là une grande incivilité, et qu'il n'est pas honnête à un domestique de passer devant son maître ! Non, vous dis-je, je n'en ferai rien… Après vous, Monsieur, vous dis-je ! Le Diable t'entrainic ! Ah ! Monsieur, je frisonne d'aller dans l'Île Noire de Madame Tourmentine. Hoïmé ! Nous voilà flambés ! Eh ! Messieurs les lutins, n'êtes-vous pas las de nous tourmenter ? Assommez-nous plutôt tout d'un coup ! Mais vous trahiriez la vengeance de votre chienne de maîtresse… Ahi, ahi, ahi ! Je n'en puis plus ! J'étouffe ! Finissez donc ! Ahi, sono morto ! À moi, mousquetaires, j'ai le nez cassé ! Hoïmé ! Des lutins femelles ! C'est sans doute pour jouer de leur reste ! Eh oui ! Voyez-vous la malice de ce maudit lutin ? Il a emprunté tous les traits de Marinette ! À d'autres, à d'autres ! Ne vous y fiez pas, Monsieur, c'est un diable qui a pris la figure de votre maîtresse ! Cela serait possible ? Oui vraiment, c'est ma chère Marinette elle-même ! C'est donc pour la même raison que nous que l'on vous envoie ici ? Quelle joie de te revoir mon bouchon !… Mais je n'y pense pas ! Je m'abandonne au plaisir de te retrouver et j'oublie dans quel endroit nous sommes. Hélas ! Nous allons souffrir bien davantage d'être tourmentés, et de voir en même temps tout ce que nous aimons dans les plus horribles peines ! Ahi ! Ouf ! Les Lutins nous donnent un moment de relâche. Ils sont sans doute allés dîner et reprendre de nouvelles forces pour nous harceler. Ha, ha ! Qu'entends-je ? De la musique en ce lieu infernal ? Qu'est ce que cela signifie ? Vivat, vivat ! C'est le génie Beninguet, la fleur de nos amis ! En vous remerciant, Seigneur Beninguet ! Diable ! Voilà qui est bon ! Je me dédis, ma foi, je vois bien que Beninguet est un bon enfant, et j'ai eu tort de médire de lui. Comment faire pour l'avoir cet anneau ? Hé, mais il faut faire en sorte de… Ma foi, je n'en sais rien. L'avis est bon ! Mais l'exécution… Tenez, c'est le grelot à attacher au cou du chat ! Oui cet avis-là aurait été excellent tantôt, et nous aurions pu… Cependant il me vient une idée… Donnez-moi cette petite bague que vous avez là, Et toi, Marinette, donne-moi cette jolie paire de gants qui t'était trop étroite, si tu l'as encore. Laissez-moi faire à présent. Doucement, doucement, messieurs les lutins ! Suspendez pour un moment vos brutales occupations, et conduisez-moi à madame Tourmentine. J'ai des choses de grandes conséquences à lui dire ! Sans adieu ! Vous aurez bientôt de mes nouvelles ! Il y a bien des nouvelles, Madame Tourmentinic, mon maître vous aime à cette heure à la folie. Oui, charmant tison du feu de l'amour ! Léandre ne soupire plus qu'après le bonheur de vous posséder. Oh, c'est encore bien pis ! Cela est vrai. Il vous a maudit d'abord. « La chienne, s'écriait-il, la masque, la carogne, la bourrelle ! Que le Diable lui puisse tordre le cou ! » Mais à force d'être tourmenté il a fait des réflexions. Oh, que vous n'y êtes pas ! Il est bien à quelques peines près, lui. Écoutez, écoutez, vous allez, allez-vous voir qu'il a le coeur plus délicat que vous ne pensez. Il a donc fait des réflexions et a dit : « Comment Diable ! Je m'imaginais que l'amour que j'avais donné à la princesse Tourmentine n'était qu'un feu de paille, qui s'éteindrait dès le lendemain de notre mariage. Cette crainte m'empêchait de l'écouter. Mais, ma foi, ceci devient sérieux ! Il me paraît que son amour est de bonne trempe. Car comme on dit qui aime bien châtie bien, si j'en juge, ajouta-t-il, par les tourments qu'elle m'ordonne ici, il faut que cette fille-là m'aime à la rage ! » Enfin il s'est approché de moi et m'a tenu ce discours : « Ah ! Mon pauvre Arlequin ! Tu vois ton maître bien changé ! — Oui vraiment, Monsieur, lui ai-je répondu, vous êtes bien changé… Les coups de fouet vous ont… — Tu ne m'entends pas, a-t-il interrompu, les vigoureuses preuves du violent amour de Tourmentine me percent le coeur, je n'y puis plus tenir, ni vivre loin d'elle. Cours vite, mon ami, lui apprendre ma peine, et son triomphe ! » Attendez, attendez, messieurs les lutins. Il y a aussi avec nous deux femelles qui disent qu'elles sont prêtes d'épouser le Samago, le Gougou et toute la cour samagotique ! Pour vous confirmer ce que je viens de vous dire : voilà, Madame, une petite bague que mon maître vous prie de vouloir bien porter pour l'amour de lui. Il m'a aussi chargé de vous présenter de sa part cette petite paire de gants blancs, dont une dame de notre pays lui a fait présent. Excusez, Madame, si ces petites bagatelles ne sont pas dignes de vos mérites, mais le pauvre garçon vous donne tout ce qu'il a. Il ne peut pas mieux faire dans la situation où il est. Ha, ha ! Madame la diablesse ! Nous ne vous craignons plus à présent ! Restez là. Qu'ils viennent, je les attends de pied ferme ! Tout beau, lutins. Apportez-moi ici ces trois personnes ! Nous avons attrapé l'anneau ! L'anneau mes amis voilà nos gens bien camus, comme vous voyez ! Respectez l'anneau, misérables ! Vous n'avez qu'à y revenir marauds ! Tirez, tirez, charognes ! Pliez sous l'anneau ! Vous êtes bien hardie, madame la gaupe ! Laissez-le venir, je lui rendrai bon compte ! De par l'anneau, demeure là ! Que diable est-ce là ? Voilà un drôle qui n'est pas à une tête près à ce qu'il me paraît ! N'importe, essayons si nous ne pourrons point détruire toute cette maudite engeance. Je ne risque rien avec mon anneau. Relevez-vous, je suis bon prince, je vous pardonne mais à condition, premièrement, que vous brûlerez devant nous votre vilain Gougou. Ne me répliquez pas seulement ! Secondement, que vous nous donnerez le meilleur de vos vaisseaux avec force provision pour nous en retourner. Troisièmement que l'anneau nous restera en propre pour notre sûreté, et pour venir ici quand bon nous semblera pour mettre ordre à votre conduite. Et enfin que ces cadets de lutins qui mériteraient bien d'être remboursés des coups de fouets qu'ils nous ont appliqués en seront quittes en monnaie de singe, c'est-à-dire qu'ils feront tout à l'heure un ballet pour nous divertir ainsi que ces dames qui sont nos maîtresses. **** *creator_lesagedorneval *book_lesagedorneval_ilegougou *style_prose *genre_comedy *dist1_lesagedorneval_prose_comedy_ilegougou *dist2_lesagedorneval_prose_comedy *id_ARGENTINE *date_1720 *sexe_feminin *age_mur *statut_maitre *fonction_mere *role_argentine Ahi ! Ah ! Ah ! Ahi, ahi ! Ah ! **** *creator_lesagedorneval *book_lesagedorneval_ilegougou *style_prose *genre_comedy *dist1_lesagedorneval_prose_comedy_ilegougou *dist2_lesagedorneval_prose_comedy *id_PIERROT *date_1720 *sexe_masculin *age_mur *statut_maitre *fonction_pere *role_pierrot Gougou, Gougou, Gougou, Gougou, Avalou, Avalou, Avalou Arlequi, qui, Arlequou quou, Arlequinou. Arlequinou. Gougou, Gougou Est contentou D'Arlequinou ! Grand deou, qu'adorou sauvageou. Est contentou ! Deou, Deou !