publié par Paul FIEVRE, juin 2015
Il semblera d’abord au lecteur que la comédie que j’ajoute ici n’est pas en son lieu ; mais, s’il la veut lire jusqu’à la fin, il y trouvera un récit, non tout à fait tel que ceux de mes Contes, et aussi qui ne s’en éloigne pas tout à fait. Il n’y a aucune distribution de scènes, la chose n’étant pas faite pour être représentée.
1. Ces lignes sont imprimées à la suite du conte intitulé Le petit Chien qui secoue de l’argent et des pierreries, p. 147 du recueil des Contes et Nouvelles en vers, 1671, in-12.