M. DC. LII.
H. M. D. M. A.
Je ne goûte jamais plus doucement le plaisir du repos, que lors que je m’en prive, pour travailler à ta gloire, ILLUSTRE PANTONICE. Si c’est par la grande habitude, que j’ai à considérer, que tu ne te plais, qu’à t’en priver toi-même, pour le donner à tout le monde; je m’en rapporte à l’idée que cet ouvrage d’un mois, te pourra faire concevoir de mon génie : je t’assure du moins que je suis en possession de te servir sans relâche: et que l’histoire de ta vie héroïque m’a tellement captivé, qu’il me serait beaucoup plus impossible de m’affranchir de cet Illustre engagement, à n’interrompre jamais la continuation de mes veilles; qu’il n’était il y a quelque temps difficile, à Protarque et à Philthemide, de trouver un accès pour entrer dans Charlymin, où nos mauvais destins avaient enchaîné toutes nos félicités, lors que le plus insolent émissaire de leurs fureurs t’y fit arrêter, pour courir plus impunément dans la lice de sa Tyrannie.
Si le seul motif, que je tire de tes vertus, ne m’attachaient à ton parti, le dégagement n’en serait pas si difficile, que je veux que tu le conçoives. Mais l’intérêt qui me rendrait criminel si je te servais par son principe, n’a jamais eu que des souffles impuissants, pour me faire branler; et la réflexion que je fais, qu’en te servant je me récompense de la satisfaction que j’ai de m’employer pour le mérite le plus visible du siècle, me fait regarder toutes les autres espérances, infiniment au dessous des prétentions d’un honnête homme.
Je sais bien que la générosité, qui t’est naturelle, ne t’a point épargné pour faire prodiguer tes faveurs à ceux même qui n’avaient accompagne ta disgrâce qu’avec une apparence d’amitié; et que parmi des ombres d’affection, je pouvais faire paraître des corps et des vérités sans déguisement, pour t’obliger à les reconnaître ; si le dessein de ne t’être connu que par mes services, ne m’eut obstiné, à te faire ignorer mon nom, afin de te faire savoir que les affections désintéressées ne sont pas toujours pour les siècles des Romans.
Je suis encor dans ce sentiment; et cet ouvrage que je ne te fais voir, que sous le voile de l’allégorie; te pourra témoigner que je ne me cache qu’a toi, lors que je veux te faire connaître: et que je me plais dans les ténèbres, pourvu que je puisse contribuer de quelque chose à l’éclat de ta réputation. Et si j’avais ce bonheur que cette poésie peut être reçue des complaisants avec quelque applaudissement, capable de te donner le désir de me voir; je serais encor assez généreux et désintéressée, pour me dérober à cette récompense: par ce qu’outre que je m’en croirai toujours, indigne; je pourrais me reprocher à moi-même, en te servant puis après, que j’agirais plutôt par le motif d’une semblable espérance, que par l’obligation que j’ai de te servir, pour ta seule vertu.
Au reste ne te fâche point, de te voir muet dans un ouvrage qui porte ton nom: si j’avais eu la langue de Platon pour faire parler un demi-dieu, je t’eusse fait prononcer des oracles: mais la crainte de te donner des paroles qui fussent au dessous de tes idées, ne m’a point laissé voir de plus belle place dans toute la Tragi-comédie pour t’y placer, que celle que tes éloges m’ont enseigné dans la bouche de nos héros. Si j’ai manqué, tu ne saurais me blâmer que de n’avoir su mieux faire; et cette impuissance m’est glorieuse par ce qu’elle m’est commune avec tous ceux qui veulent parler de toi. Adieu. C’est le plus véritable, par ce qu’il est le plus désintéressé de tous tes serviteurs.
PETIT AVANT-PROPOS. §
Pour plaire à tout le monde, il faudrait être ce que je ne suis point; mais pour ne vouloir point déplaire à personne, je crois qu’il faudrait avoir mes intentions, ou du moins n’en avoir point de pires.
Pour tâcher de ranger les Tragicographes à mon parti dans la passion qu’ils ont de ne quitter jamais l’unité de lieu, de temps, et d’action, jusqu’à la conclusion de leurs poèmes tragiques ou comiques: Ie n’ai peu me mettre à l’abri de leurs reproches, que sous une continuelle allégorie que je n’ai jamais interrompu, comme on verra dans la clef de cet ouvrage: elle est hardie: mais la nécessité de m’en servir, et l’impossibilité de m’en passer, feront mon apologie dans les esprits raisonnables.
Ceux qui savent les particularités des aventures de l’oppression de Pantonice, et de la tyrannie de Pamphage, les pourront voir à loisir dans la continuation de cette allégorie de noms et d’action; et je les supplie très humblement de n’en espérer rien de beau que leur suffrage, s’ils m’en honorent, moins par justice que par la complaisance de leurs bontés.
Nascimur quidem Poëtæ, sed fimus tragici, et Euadimus oratores.
L’INTRIGUE DE L’EMPRISONEMENT et de l’élargissement de Messieurs les Princes. §
Où les curieux verront, dans une perpétuelle allégorie de noms et d’histoire dont on peut voir la clef aux deux derniers cahiers; les causes de cet emprisonnement et de cet élargissement, avec les souplesses qu’on à fait jouer pour faire réussir l’un et l’autre: le tout avec une méthode si agréable que la lecture n’en dut être que fort charmante à ceux qui voudront considérer toutes les postures théâtrales du Mazarin: c’est a dire du faquin d’État, que je produis dans le théâtre sous le titre de Pamphage.
MONSEIGNEUR. §
Si votre Altesse eut été capable de craindre un emprisonnement; la Régente et son Ministre n’eussent jamais été assez hardis pour l’entreprendre. Votre générosité fut le motif de leur lâcheté; Votre résolution à ne rien appréhender de leur part, les porta à tout oser contre V.A., et parce qu’ils savaient bien que vous ne vous sentiez complice que du crime de les voir obligés, ils crurent qu’ils pouvaient d’autant plus assurément se de faire de V.A. que moins ils préjugeaient que vous y porteriez de résistance, parce que vous n’étiez coupable que de les avoir généreusement servis. Ce crime prétendu les eut fait idolâtrer après vous, si leur passion n’eut été leur Dieu. Et puisqu’ils ne pouvaient vous condamner d’avoir mal fait qu’en avouant tacitement qu’ils n’avaient point mérité votre faveur, ils devaient savoir qu’en vous poursuivant comme un coupable, ils se faisaient eux même leur procès. Cette action m’a paru si noire que je l’ai jugée digne d’une catastrophe de théâtre, ou j’ai cru que Votre Altesse devait se taire, pour faire indiquer par son silence l’effronterie d’un si lâche attentat: La tragédie n’est pas de ma profession: Mais Votre Altesse aura la bonté de regarder un coup d’essai avec indulgence; et de considérer en cet ouvrage un Orateur travesti en poète par la nécessité de son dessein.
C’est, MONSEIGNEVR, de Votre Altesse, le très humble très obéissant et très fidèle serviteur
Explication du sens allégorique des actes, et des scènes de cette tragi-comédie. §
L’explication du premier Acte.
La première scène de cet acte expose les véritables raisons qui portèrent Mazarin au dessein de l’emprisonnement de Messieurs les Princes; les causes pour lesquelles il le fit réussir avec l’étonnement de tout le monde; les moyens dont il se servit pour en venir à bout ; et les prétentions qu’il formait sur l’État en suite de ce coup hardi.
La seconde scène fait voir les fausses couleurs dont Mazarin se servit pour déguiser le visage de Monsieur le Prince, et le rendre en quelque façon redoutable à sa Majesté Régente contre les sentiments de cette incomparable Princesse, qui ne trouvait pas seulement une apparence capable de justifier cette entreprise.
La troisième scène contient les nouvelles des remuements de Normandie et de Bourgogne, qui causèrent le voyage du Roi dans les deux Provinces.
La quatrième scène; les sentiments qu’on avait que Mazarin ne pourrait jamais calmer tant d’orages sans y faire naufrage, et qu’il avait lui-même trouvé le moyen de se perdre.
L’explication de l’Acte second.
La première scène ne contient que la seule lettre de cachet envoyée au Parlement sur le sujet de la détention de Messieurs les Princes.
La seconde scène montre que le Parlement se trouva partagé dans cette conjoncture.
La troisième scène fait voir les sentiments de la France touchant ce silence du Parlement ; et justifie à même temps cette Cour souveraine par l’impuissance qu’elle avait pour résister à la tyrannie de Mazarin, qui ne s’était pas seulement servi d’une déclaration du Roi, de peur que les justes et les généreux de cet aréopage ne s’opposassent à sa vérification.
La scène quatrième expose les sentiments des bons Français qui se résolurent d’entrer dans les partis pour la querelle de Messieurs les Princes.
La cinquième scène déduit les raisons apparentes qu’on avait pour croire que Messieurs de Beaufort et le Coadjuteur étaient Mazarinsv; et les contraires mais véritables pour faire voir qu’ils étaient toujours les mêmes; qu’ils n’avaient interrompu les poursuites de leur inimitié contre lui, que pour résister avec plus de succès à celles de Monsieur le Prince, que l’assassinat commis dans son carrosse, et qu’on leur imputait, avait irrité contre la Fronde.
La sixième scène déduit les véritables desseins que Messieurs de Beaufort et le Coadjuteur avaient de se défaire de Mazarin.
L’explication de l’Acte troisième.
La première scène fait voir que le succès du voyage du Roi en Bourgogne fut honteux à sa Majesté ; et que les véritables Français commencèrent à murmurer de voir l’autorité royale réduite à traiter avec ses sujets.
La seconde scène découvre les véritables sentiments de la Reine touchant cette conjoncture d’affaires.
La troisième scène n’est composée que des feintes entrevues de la fronde et de Mazarin, et des fausses espérances que celui-ci avait d’intéresser les frondeurs à son parti par les allèchements de quelque récompense.
La quatrième scène touche la fonction de Madame la Princesse, des Ducs d’Enghein, de Bouillon et de Marcillac et les Bordelais.
La cinquième scène fait voir le dessein de la Fronde pour se servir de l’absence de Mazarin, afin de gagner son Altesse Royale.
L’explication de l’Acte quatrième.
La première scène montre comme les frondeurs désabusèrent entièrement S.A.R. pendant que Mazarin était en Guyenne.
La seconde scène fait voir la résolution que S.A.R. commença de prendre pour perdre Mazarin, en suite des désordres dont la France était troublée par les menées de cet étranger.
La troisième scène contient les heureuses nouvelles qu’on entendait tous les jours touchant la généreuse résistance des Bordelais.
La quatrième scène fait voir le commencement de l’union de S.A.R. de la Fronde et du Parlement contre Mazarin, en suite du succès de Bordeaux.
La cinquième scène touche le changement des prisons de Messieurs les Princes, la mort de Madame la Princesse Douairière, en suite de quoi S.A.R. fut encore plus que jamais résolu à perdre Mazarin.
La sixième montre la prudence des frondeurs à à ménager sagement cette chaleur du Duc d’Orléans.
L’explication de l’Acte cinquième.
La première scène convainc Mazarin qu’il n’est perdu que par les poursuites de la Fronde.
La seconde scène contient les insolents propos que Mazarin tint à son Altesse Royale lorsqu’elle poursuivait vivement l’élargissement de Messieurs les Princes,
La troisième scène touche le dernier et irrévocable dessein de S.A.R. pour perdre Mazarin et ravoir les Princes.
La quatrième scène contient les poursuites de S.A.R. dans le Parlement, la lettre envoyée par Messieurs les Princes, et l’arrêt porté contre Mazarin.
La cinquième scène fait voir comme Mazarin préoccupa l’exécution de l’arrêt en élargissant Messieurs les Princes, pour tâcher de renouer les affaires par cette dernière ressource; la même scène finit avec la comédie, par la réjouissance que cet élargissement causa à toute la France.
Megafronie ou Altière veut dire Espagne: Semnandre ou personnage illustre de Monsieur de Turenne, Polemandre ou personnage belliqueux, le Duc de Bouillon.
LA CLEF ET L’ETYMOLOGIE DE tous les mots allégoriques de cette tragi-comédie. §
LA BALANCE D’ESTAT, c’est à dire le rehaussement de Monsieur le Prince et l’abaissement de Mazarin.
ANDRIGENE ou qui produit de grands hommes, la France.
BASILON ou Roi, Le Roi Mineur.
PHILARCHIE ou qui aime et soutient la souveraineté, La Reine.
PROTARQVE ou le premier qui commande, Son Altesse Royale.
PANTONICE ou qui surmonte tout et par tout, Monsieur le Prince.
ANDRION ou l’enfant adulte, Monsieur le Duc d’Anguien.
PHILHIMENE ou qui aime et défend son époux, Madame la Princesse.
HEROGENE ou la mère des héros ! feu, Madame la Princesse Douairière.
TECNATINE ou enfant de Minerve armée, Monsieur le Prince de Conty.
PROTERME ou premier arbitre de Paix, Monsieur le Duc de Longueville.
PHILIDEME ou qui aime et qui est aimé du peuple, Monsieur le Duc de Beaufort.
MISTARQVE ou le chef des sacrés et des oints, Monsieur le Coadjuteur.
MONOFTHALME ou qui n’a qu’un oeil, Monsieur de Servient.
TRASSIDULE ou serviteur hardi et courageux, Monsieur de Guitaud.
THEMIDE ou la Justice, Le Parlement de Paris.
MEGALOPLE ou grande ville, Paris.
SELINOPLE ou ville ou Port de Lune, Bordeaux.
DEMOTRACE ou nation hardie, Guyenne.
ARCTODEME ou peuple du Septentrion (car « man » en vieux Gaulois veut dire peuple) Normandie.
ALLOMICE ou qui hait les étrangers, ab insito Burgundis in aduenas odio, dit Paul Æmile ! la Duché de Bourgogne.
EUPHILACHIE ou Belle Garde, Belle Garde,
CHORATELE ou Province exempte de tribut, la Franche-Comté,
ARCHITALASSIE ou intendance des mers, l’Amirauté.
POLEMARCHIE ou intendance des guerres, la Charge de Connétable.
PHILACARISTE ou prison des nobles, le Bois de Vincennes.
TOPODESMON ou lieu de détention, Marcoussis.
CHARLIMIN ou Port de Grâce, le Havre de Grâce.
DYSANGEL ou porteur de mauvaises nouvelles ; Evangel ou porteur de bonnes nouvelles, deux Gentil hommes.
ALBION l’Angleterre.
PAMPHAGE ou qui mange tout, Mazarin.
Cette tragi-comédie contient toute l’Histoire de l’emprisonnement et de la délivrance de Messieurs les Princes et de l’éloignement de Mazarin dans une continuelle Allégorie.
A. M. D. G.
LES ACTEURS. §
- ANDRIGENE, Reine.
- PHILARCHIE, intendante souveraine de la maison d’Andrigène.
- THÉMIDE, intendante souveraine de la Justice d’Andrigène.
- PROTARQUE, chef du Conseil d’Andrigene, et Lieutenant Général de tous ses États.
- PHILIDEME, apparemment ami, en effet ennemi de Pamphage, et confident de Protarque.
- MYSTARQUE, apparemment ami, en effet ennemi de Pamphage, et confident de Protarque.
- PAMPHAGE, favori de Philarchie.
- MONOFTHALME, confident de Pamphage.
- TRASSIDULE, confident de Pamphage.
- DISANGEL, seigneur de la Cour.
- EVANGEL, Seigneur de la Cour.
- Un Gentilhomme.
- Un page.
ACTE I §
SCÈNE PREMIÈRE. Pamphage, Monofthalme, Trassidule. §
PAMPHAGE.
TRASSIDULE.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
SCÈNE II. Philarchie, Pamphage. §
PHILARCHIE.
PAMPHAGE.
PHILARCHIE.
PAMPHAGE.
PHILARCHIE.
PAMPHAGE.
PHILARCHIE.
SCÈNE III. Philarchie, Disangel, Pamphage. §
DISANGEL.
PHILARCHIE.
DISANGEL.
PHILARCHIE.
DISANGEL.
PHILARCHIE.
PAMPHAGE.
PHILARCHIE.
SCÈNE IV. §
DISANGEL.
ACTE II §
SCÈNE I. Thémide, Pamphage. §
PAMPHAGE.
SCÈNE II. §
THÉMIDE.
SCÈNE III. Andrigene, Thémide. §
THÉMIDE.
ANDRIGENE.
THÉMIDE.
ANDRIGENE.
THÉMIDE.
ANDRIGENE.
THÉMIDE.
ANDRIGENE.
THÉMIDE.
ANDRIGENE.
THÉMIDE.
SCÈNE I.. §
ANDRIGENE.
SCÈNE V. Andrigene, Phildeme, Mystarque. §
PHILIDEME.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
PHILIDEME.
ANDRIGENE.
PHILIDEME.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
PHILIDEME.
ANDRIGENE.
PHILIDEME.
ANDRIGENE.
PHILIDEME.
ANDRIGENE.
SCÈNE VI. Philideme, Mystarque. §
PHILIDEME.
MYSTARQUE.
ACTE III §
SCÈNE I. Andrigene, Pamphage. §
ANDRIGENE.
PAMPHAGE.
ANDRIGENE.
PAMPHAGE.
ANDRIGENE.
PAMPHAGE.
ANDRIGENE.
SCÈNE II. Pamphage, Philarchie, qui sort d’un autre côté. §
PHILARCHIE.
PAMPHAGE.
PHILARCHIE.
PAMPHAGE.
PHILARCHIE.
PAMPHAGE.
PHILARCHIE.
PAMPHAGE.
PHILARCHIE.
PAMPHAGE.
PHILARCHIE.
SCÈNE III. Pamphage, Philideme, Mystarque. §
PAMPHAGE.
PHILIDEME.
PAMPHAGE.
MYSTARQUE.
PAMPHAGE.
SCÈNE IV. Pamphage, Philideme, Mystarque, Uu Page. §
LE PAGE.
PAMPHAGE.
LE PAGE.
PAMPHAGE.
LE PAGE.
PAMPHAGE.
LE PAGE.
PAMPHAGE.
SCÈNE V. Philideme, Mystarque. §
PHILIDEME.
MYSTARQUE.
PHILIDEME.
MYSTARQUE.
PHILIDEME.
MYSTARQUE.
PHILIDEME.
MYSTARQUE.
PHILIDEME.
ACTE IV §
SCÈNE I. Protarque, Philideme, Mystarque. §
PROTARQUE.
PHILIDEME.
PROTARQUE.
MYSTARQUE.
PROTARQUE.
MYSTARQUE.
PROTARQUE.
SCENE II. Andrigene, Protarque. §
PROTARQUE, l’a prévient la voyant seule.
On lit "tendez" au lieu de "rendez".
ANDRIGENE.
PROTARQUE.
ANDRIGENE.
PROTARQUE.
SCÈNE III. Anadrigene, Philideme, et Mystarque qui sortent de l’autre côté. §
PHILIDEME.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
MYSTARQUE.
SCÈNE IV. Protarque, Thémide, Philideme, Mystarque. §
THÉMIDE.
PROTARQUE.
PHILIDEME.
PROTARQUE.
PHILIDEME.
PROTARQUE.
THÉMIDE.
PROTARQUE.
THÉMIDE.
PHILIDEME.
THÉMIDE.
SCENE V. Andrigene, Protarque, Philideme, Mystarque. §
ANDRIGENE.
PROTARQUE.
ANDRIGENE.
PROTARQUE.
ANDRIGENE.
PROTARQUE.
SCÈNE VI. Andrigene. Philideme, Mystarque. §
MYSTARQUE.
ANDRIGENE.
ACTE V §
SCÈNE I. Pamphage, Monofthalme. §
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
PAMPHAGE.
MONOFTHALME.
SCÈNE II. Protarque, Pamphage. §
PROTARQUE.
PAMPHAGE.
PROTARQUE.
PAMPHAGE.
PROTARQUE.
PAMPHAGE.
PROTARQUE.
PAMPHAGE.
PROTARQUE.
PAMPHAGE.
PROTARQUE.
PAMPHAGE.
PROTARQUE.
PAMPHAGE.
PROTARQUE.
PAMPHAGE.
SCÈNE I.I. §
PROTARQUE.
SCÈNE IV. Protarque, Thémide, Philideme, Mystarque. §
PROTARQUE.
THÉMIDE.
EVANGEL.
THÉMIDE.
EVANGEL.
THÉMIDE, prenant le billet.
PROTARQUE.
THÉMIDE.
PROTARQUE.
THÉMIDE.
PROTARQUE.
THÉMIDE.
PROTARQUE.
THÉMIDE.
SCÈNE V. Protarque, Phildeme, Mystarque. §
PROTARQUE.
PHILIDEME.
PROTARQUE.
MYSTARQUE.
PROTARQUE.
LE GENTILHOMME.
PROTARQUE.
LE GENTILHOMME.
PROTARQUE.
LE GENTILHOMME.
PROTARQUE.