M. DCC. AVEC PRIVILÈGE DU ROI.
Jean-François Regnard
PRÉFACE §
Les frères Ménechmes, dans la comédie de Plaute, sont fils jumeaux d’un marchand sicilien ; quoique d’origine hellénique, ce nom de Ménechme n’a rien de caractéristique, ni d’approprié à la ressemblance physique ou morale des deux frères, comme on pourrait le croire d’après l’explication qu’en donne certain Dictionnaire de la langue française. Les deux mots grecs dont il est composé signifient courage et lance. Un des historiens d’Alexandre le Grand se nommait aussi Ménechme, natif de Sicyone. (G. A. C.).
Cette comédie a été représentée pour la première fois le vendredi 4 décembre 1705, et a eu seize représentations de suite. Ce succès ne s’est point démenti ; la pièce a été reprise très souvent, et tout le monde s’accorde à la regarder comme une des meilleures de notre poète.
Les comédiens ont cependant eu de la peine à recevoir cette pièce : l’auteur la leur avait présentée deux fois, sans pouvoir la faire admettre. Enfin, le samedi 19 septembre 1705, il en fit la lecture, pour la troisième fois, à l’assemblée des comédiens, qui se déterminèrent à la représenter.
Nous ignorons si ces différents refus ont été l’effet du caprice des comédiens, et si l’auteur a retouché sa pièce dans les intervalles qui se sont écoulés entre ces lectures : cependant nous avons de la peine à croire qu’un poète tel que Regnard, parfaitement au fait des convenances théâtrales, et dont toutes les pièces avaient été couronnées d’un plein succès, ait hasardé dans celle-ci des choses qui n’eussent pas permis aux comédiens d’en tenter la représentation.
Quoi qu’il en soit, cette comédie passe avec raison pour une des plus régulières et des mieux travaillées de toutes celles de Regnard.
Le sujet est du nombre de ceux qui produisent un effet sûr au théâtre. Deux frères jumeaux, dont la ressemblance est parfaite, doivent occasionner des méprises qui fournissent une matière ample et variée à des incidents comiques. Aussi est-il peu de sujets qui aient été traités d’autant de manières, et par un aussi grand nombre d’auteurs.
Nous ne parlons pas de Plaute, que Regnard n’a imité que faiblement. Les incidents de sa pièce sont tout à fait différents ; et on ne peut .que lui savoir gré d’avoir supprimé ceux du poète latin, pour nous en présenter d’autres plus convenables à nos moeurs, et plus vraisemblables.
Dans Plaute, l’un des Ménechmes est marié ; et néanmoins il est amoureux d’une courtisane qu?il enrichit des dépouilles de sa femme, au point de dérober les robes et les bijoux de celle-ci, pour en faire des cadeaux à sa maîtresse.
Ménechme Sosiclès arrive à Épidamne, lieu de la résidence de son frère, sans savoir qu’il y est établi. Sa surprise est grande de s?y voir nommé, connu, et abordé familièrement partout le monde ; il est surtout étrangement émerveillé de la manière dont il est accueilli par la femme et par la maîtresse de son frère, des reproches de l’une et des caresses de l’autre.
On sent combien un personnage tel que le Ménechme d’Épidamne aurait été peu intéressant dans nos moeurs, et que l’on n’aurait nullement pris plaisir au tableau de ses débauches avec la courtisane Érotie.
Rotrou a cru cependant pouvoir suivre l’exemple du poète latin. Sa comédie des Ménechmes est plutôt une traduction qu’une imitation de Plaute : il a conservé tous les personnages, jusqu’au parasite ; il s’est contenté d’adoucir un peu celui d’Érotie. Il suppose que celle-ci est une jeune veuve, qui permet, à la vérité, que Ménechme lui fasse la cour, et fait cas de son amitié, pourvu, dit-elle,
Elle n’ignore pas néanmoins que Ménechme est marié, et qu’il a une femme jalouse. Autant valait-il conserver à ce personnage le caractère de courtisane que lui donnait le poète latin ; Rotrou aurait au moins gardé la vraisemblance.
Regnard a pris une autre marche : ses Ménechmes ne sont point mariés ; l’un est un provincial grossier et brutal, qui vient à Paris recueillir la succession d’un oncle ; il a été institué légataire universel, parce que le défunt ignorait la destinée du second de ses neveux, qui avait quitté, dans son enfance, la maison paternelle.
Cependant le chevalier Ménechme était à Paris depuis quelque temps, et y vivait en vrai chevalier déshérité par la fortune. Une vieille Araminte, amoureuse de ce jeune homme, paraissait disposée à réparer, en l’épousant, les torts de la fortune. Le chevalier était près de terminer, lorsque son amour pour Isabelle, fille de Démophon, rompt ses projets. C’est cette même Isabelle que son frère doit épouser, et que Démophon a promise à Ménechme, sur la nouvelle qu’il a apprise de la succession qu’il vient recueillir.
Telle est la fable que Regnard a imaginée, et qu’il a substituée à celle de Plaute.
Quant aux incidents, nous ne voyons pas qu’il ait tiré parti d’aucun, si ce n’est du repas préparé par Érotie, qui a quelque ressemblance avec le dîner où Araminte attend le chevalier Ménechme. Regnard emploie avec beaucoup de succès plusieurs plaisanteries du poète latin.
Cependant le Ménechme français s’exprime avec plus de dureté que l’autre ; il traite Araminte et sa suivante avec le dernier mépris ; tandis que le Ménechme de Plaute, après avoir témoigné sa surprise de l’accueil qu’il reçoit d’Érotie, finit par profiter de la bonne fortune qui se présente ; il feint d’entrer dans les idées de la courtisane, et se dispose à partager le repas qui était préparé pour un autre.
Rotrou, comme nous l’avons observé, a servilement imité Plaute, ou plutôt son ouvrage n’est qu’une pure traduction ; il a conservé l’intrigue, les incidents, la marche des scènes, jusqu’aux noms des personnages.
Un troisième imitateur de Plaute, est Le Noble, dans sa comédie des Deux Arlequins, représentée par les anciens comédiens italiens, le 26 septembre 1691. Arlequin l’aîné est au service de Géronte, vieux financier, amoureux d’Isabelle. Arlequin le cadet, trompé par une fausse nouvelle de la mort de son frère, vient à Paris recueillir sa succession.
La parfaite ressemblance des deux frères occasionne des méprises et des quiproquos qui font tout l’agrément de la pièce.
Les incidents sont imités, pour la plupart, de Plaute. Le Noble a tiré le plus grand parti de la pièce latine ; mais ce n’est point une imitation servile, comme l’ouvrage de Rotrou.
Arlequin l’aîné est l’amant aimé de Colombine, suivante d’Isabelle ; il a quitté pour elle Marinette ; et celle-ci, qui aime Arlequin, est furieuse de son changement. On retrouve dans ces personnages l’Érotie de Plaute et la femme de Ménechme : de même qu’Érotie fait préparer un repas pour son amant, Colombine, dans la pièce de Le Noble, veut régaler son cher Arlequin.
Le cuisinier, trompé par la ressemblance, s’adresse à Arlequin cadet, croyant parler à son frère, et lui remet les plats de la collation. Colombine, qui survient, en est assez durement traitée’ : cependant, comme Arlequin la trouve à son gré, il s’adoucit ; et Colombine lui remet de la part de Géronte un coffret de bijoux pour sa maîtresse Isabelle.
Ces bijoux produisent des incidents assez semblables à ceux de la robe que Ménechme, dans Plaute, dérobe à sa femme pour en faire un présent à sa maîtresse.
Arlequin le cadet reçoit les bijoux avec une nouvelle surprise ; il ne connaît ni Géronte ni Isabelle : cependant il dissimule, et il se résout à profiter de cette aventure.
On voit paraître peu après Arlequin l’aîné. L’étonnement de celui-ci n’est pas moins grand, lorsqu’on lui demande compte des bijoux ; sa surprise est interprétée comme mauvaise foi, et on le traite de voleur. Quelques scènes après survient Marinette, dont la jalousie et les emportements donnent à Arlequin de nouveaux chagrins.
Arlequin le cadet revient sur la scène, fortement occupé des bijoux qu’il a reçus ; il cherche les moyens de les convertir en espèces. Géronte le surprend dans ses réflexions ; la vue des bijoux ne lui permet plus de douter qu’il a affaire à un domestique infidèle, et il le saisit au collet.
On reconnaît dans cette scène celle où la femme de Ménechme d?Épidamne, voyant sa robe entre les mains de Ménechme Sosiclès, qu’elle prend pour son mari, s’abandonne aux transports de jalousie les plus violents, et lui fait les reproches les plus vifs.
Cependant Géronte est fort mal reçu ; Arlequin, qui ne le connaît pas, le prend pour un escroc qui veut lui escamoter ses bijoux : il se débarrasse facilement des mains du vieillard, le bat, et le contraint de prendre la fuite.
Géronte, furieux, va chercher main-forte ; pendant ce temps, Arlequin le cadet sort, et son frère revient sur la scène, déplorant son sort, et soupçonnant Colombine elle-même d’avoir voulu s’approprier les bijoux qu’elle l’accuse d’avoir volés.
Il est désagréablement interrompu par Géronte, qui arrive suivi d’un commissaire et de plusieurs archers. On arrête Arlequin, on le fouille ; mais on ne lui trouve pas les bijoux. Pendant qu’on se dispose à le conduire en prison, Pierrot, gros paysan du Bourg-la-Reine, qui a fait la connaissance d’Arlequin le cadet, l’a pris en amitié, et l’a suivi à Paris. Croyant voir son ami dans l’embarras, il se jette sur les archers, et grands coups de bâton il les force à lâcher leur prise.
C’est encore ici la scène de Messénion, valet de Sosiclès, qui, voyant emmener Ménechme d’Épidamne, croit secourir son maître en le débarrassant des mains de ceux qui le tiennent.
Le dénouement de toutes ces pièces est à peu près le même : les deux frères se reconnaissent, et expliquent, en présence de tous les personnages, les différentes méprises auxquelles leur ressemblance a donné lieu.
On s’est étendu un peu sur cette comédie peu connue aujourd’hui, depuis la suppression de l’ancien Théâtre italien, mais qui a eu dans sa nouveauté un très grand succès.
On vient de donner à la Comédie italienne les deux Jumeaux de Bergame, comédie qui a quelque ressemblance avec les deux Arlequins de l’ancien théâtre ; mais cette ressemblance n’est que pour le fond de l’intrigue ; les incidents y sont moins multipliés et tout différents.
Revenons à Regnard : la place de sa comédie des Ménechmes est marquée ; c’est une de celles qui servent de fondement à la réputation de ce poète ; et, sans contredit, cette pièce est la meilleure de toutes celles dont le noeud est fondé sur la ressemblance de deux ou de plusieurs personnages. On lit, dans le nouveau Mercure imprimé à Trévoux en 1708, une lettre critique sur cette comédie ; l’auteur en est anonyme ; et, si sa critique est quelquefois injuste et trop sévère, on y trouve aussi des observations judicieuses.
Nous passons sur la critique que fait l’anonyme du prologue qui précède Les Ménechmes. Ce prologue n’est qu’un hommage que Regnard fait à Plaute de sa comédie, quoiqu’il n’ait imité que de très loin le poète latin.
« J’ai peu de regret, dit l’anonyme, aux incidents qu’il (Regnard) a été obligé de supprimer de son original pour s’assujettir à notre théâtre ; ceux qu’il a substitués à leur place sont dans l’esprit du sujet, et ils viennent si naturellement, que Plaute lui-même, s’il avait travaillé pour notre scène, n’aurait pu en imaginer de plus convenables.. . . Tout ce que j’aurais désiré dans notre auteur, c’est que ses incidents eussent été au-dessus du trivial, autant qu’ils sont dans le vraisemblable. Mais c’est l’écueil ordinaire des poètes qui s’attachent au comique ; il faudrait qu’ils élevassent la matière, et c’est la matière qui les gagne et qui les abaisse.
La difficulté que notre auteur avait à surmonter consistait à inventer des incidents qui fussent aussi naturels que ceux qu’il a jugé à propos de retrancher, et qui ne pussent affaiblir le comique attaché naturellement au sujet : il n’en a point inventé qui ne l’aient soutenu, et en qui l’on ne trouve ce vis comica que César loue dans Ménandre et dans Plaute, et dont il dit à Térence qu’il n’a pu approcher. Il y avait encore une difficulté à surmonter, qui m’avait paru plus embarrassante que tout le reste. Le jeu de la pièce ne roule que sur la méprise où jette la ressemblance des Jumeaux ; on n’a que cette méprise pour intéresser et pour attacher les spectateurs ; et il était à craindre de tomber dans la répétition et dans la fadeur, en exposant toujours le même objet sur la scène. Pour éviter la difficulté, il fallait que cette méprise surprît et intéressât de plus en plus par des incidents toujours nouveaux et toujours inattendus ; il fallait varier ce jeu, qui, pour être toujours le même dans le fond, serait devenu ennuyeux, si on ne lui avait donné des formes nouvelles et des tours différents. Notre auteur s’est tiré d’affaire en cela comme en tout le reste ; toutes les surprises où conduit la ressemblance des deux frères sont amenées avec tout l’art que l’on peut souhaiter, et font différemment leur effet jusqu’à la fin de la pièce.
Du reste, j’ai cherch6 inutilement des caractères dans cette comédie ; il ne paraît pas que l’auteur se soit attaché à nous en donner. C’est pourtant la fin principale que doivent se proposer ceux qui font des poèmes dramatiques : il faut qu’ils nous peignent les hommes dans leurs bonnes qualités et dans leurs défauts ; qu’ils nous expriment leurs sentiments et leurs moeurs ; qu’ils nous en forment des caractères, dont les uns nous en donnent de l’horreur, et dont les autres nous excitent à la vertu. »
En souscrivant aux éloges que donne l’anonyme à la comédie de Regnard, nous n’adoptons point ses critiques. Il reproche à Regnard de n’avoir pas fait une pièce de caractère d’un sujet qui n’en était pas susceptible. Il ne s’agissait point de peindre des vertus ni des vices, mais de produire des incidents multipliés et variés, occasionnés par la parfaite ressemblance des deux frères. Le noeud de cette intrigue devait seul attacher les spectateurs, et les conduire de surprise en surprise au dénouement.
Il accuse aussi à tort notre poète d’être trivial et bas ; son comique est monté sur le ton qu’il devait avoir, il est au niveau de son sujet ; et nous croyons qu’il n’aurait pas gagné s’il eût voulu s’élever, comme le dit l’anonyme, au-dessus de sa matière : il serait devenu froid et il aurait cessé d’être plaisant.
On sait que Regnard était brouillé depuis longtemps avec Despréaux. Quelques uns disent qu’il avait écrit contre la Satire x de ce poète. Quoi qu’il en soit, Boileau lui rendit la pareille dans son Epître x, vers 36 :
Mais il changea depuis ce vers, et il se lit ainsi dans les dernières éditions de ses oeuvres :
Despréaux ne voulut pas faire imprimer les noms des trois premiers poètes, qui s’étaient réconciliés avec lui ; et il leur substitua les noms des trois autres poètes qui n’étaient plus vivants lorsqu’il fit imprimer son Epître.
Ce fut pour cimenter cette réconciliation que Regnard adressa à Despréaux sa comédie des Ménechmes. Il y a cependant lieu de croire que cette réconciliation n’était pas sincère de la part de Regnard, et qu’elle n’était due qu’à la crainte de jouter contre un adversaire aussi redoutable.’ Le Tombeau de Despréaux, satire de Regnard, est une preuve du peu de sincérité de cette réconciliation.
Ce fut moi, dit M. de Losme de Montchesnay, qui raccommodai Regnard avec Despréaux. Ils étaient près d’écrire I’un contre l’autre ; et Regnard était l’agresseur. Je lui fis entendre qu’il ne convenait pas de se jouer à son maître ; et depuis sa réconciliation, il lui dédia ses Ménechmes. (Anecdotes dramatiques.)
ÉPITRE À M. DESPRÉAUX. §
Ce premier vers est ainsi imprimé dans l’édition originale de 1706. Dans toutes les autres on lit : Favori des neuf Soeurs, qui sur le mont Parnasse. Les éditeurs ont apparemment voulu faire disparaître la répétition des mots À toi, qui commencent le troisième vers. (G. A. C.)
PERSONNAGES DU PROLOGUE §
- APOLLON.
- MERCURE.
- PLAUTE.
PERSONNAGES DE LA COMÉDIE §
- MÉNECHME, frère jumeau.
- LE CHEVALIER MÉNECHME, frère jumeau.
- DÉMOPHON, père d’Isabelle.
- ISABELLE, amante du Chevalier.
- ARAMINTE, vieille tante d’Isabelle, amoureuse du Chevalier.
- FINETTE, suivante d’Araminte.
- VALENTIN, valet du Chevalier.
- ROBERTIN, notaire.
- UN MARQUIS GASCON.
- MONSIEUR COQUELET, marchand.
PROLOGUE DES MÉNECHMES. §
SCÈNE I. Apollon, Mercure. §
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
APOLLON.
SCÈNE II. Plaute, Apollon, Mercure. §
APOLLON, à Plaute.
PLAUTE.
2MERCURE.
PLAUTE.
MERCURE.
PLAUTE.
MERCURE.
PLAUTE.
MERCURE.
APOLLON.
MERCURE.
PLAUTE.
MERCURE.
PLAUTE.
MERCURE.
APOLLON.
PLAUTE.
MERCURE.
PLAUTE.
APOLLON.
PLAUTE.
MERCURE.
APOLLON.
SCÈNE III. §
MERCURE.
ACTE I §
SCÈNE I. §
LE CHEVALIER, seul.
SCÈNE II. Valentin, Le Chevalier. §
VALENTIN, met à terre une valise qu’il portait, et s’assied dessus.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN, redressant la valise, pour la mettre sur son épaule.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN, tirant un paquet de clefs.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN, tirant un paquet de lettres de la valise.
LE CHEVALIER, prenant les lettres.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
Je vous attends, monsieur, pour vous remettre « comptant les soixante mille écus que votre oncle vous a laissés par testament, et pour épouser mademoiselle Isabelle, dont je vous ai plusieurs fois parlé dans mes lettres : le parti vous convient fort, et son père Démophon souhaite cette affaire avec passion. Ne manquez donc point de vous rendre au plus tôt à Paris, et faites-moi la grâce de me croire votre très humble et très obéissant serviteur, ROBERTIN.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
SCÈNE III. Araminte, Finette, Le Chevalier, à part. §
ARAMINTE.
FINETTE.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
FINETTE.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
SCÈNE IV. Araminte, Finette. §
ARAMINTE.
FINETTE.
SCÈNE V. Démophon, Araminte, Finette. §
FINETTE.
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
FINETTE.
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
SCÈNE VI. Finette, Démophon. §
DÉMOPHON.
FINETTE.
SCÈNE VII. §
DÉMOPHON, seul.
ACTE II §
SCÈNE I. Le Chevalier, Valentin. §
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
SCÈNE II. Ménechme, en deuil, Valentin. §
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
13VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
SCÈNE III. Finette, Ménechme, Valentin. §
VALENTIN, à part.
FINETTE, à Valentin.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
VALENTIN, bas, à Ménechme.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
VALENTIN, bas, Ménechme.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE, bas, à Valentin.
VALENTIN, bas, Finette.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
SCÈNE IV. Ménechme, Valentin. §
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
SCÈNE V. Araminte, Finette, Ménechme, Valentin. §
ARAMINTE, à Finette.
FINETTE.
ARAMINTE, à Ménechme, qu’elle prend pour le Chevalier.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
FINETTE.
VALENTIN, bas, à Araminte.
ARAMINTE.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
FINETTE.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
VALENTIN, se sauvant.
ARAMINTE.
FINETTE.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
MÉNESCHME.
SCÈNE VI. Finette, Ménechme, Valentin. §
FINETTE, à Ménechme.
MÉNESCHME, à Finette et à Araminte qu’il suit des yeux.
SCÈNE VII. Ménechme, Valentin. §
MÉNESCHME, revenant, à Valentin.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
SCÈNE VIII. §
VALENTIN, seul.
ACTE III §
SCÈNE I. Le Chevalier, vêtu en deuil, Valentin. §
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN, mettant une marque an chapeau.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
SCÈNE II. Démophon, Le Chevalier, Valentin. §
VALENTIN, à Démophon.
DÉMOPHON.
VALENTIN.
DÉMOPHON, au Chevalier.
LE CHEVALIER.
DÉMOPHON.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
DÉMOPHON.
VALENTIN.
DÉMOPHON.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER, bas, à Valentin.
DÉMOPHON.
LE CHEVALIER.
DÉMOPHON.
SCÈNE III. Le Chevalier, Valentin. §
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
SCÈNE IV. Démophon, Isabelle ; Le Chevalier, à l?écart. §
DÉMOPHON.
ISABELLE.
DÉMOPHON.
ISABELLE, à part.
DÉMOPHON.
ISABELLE.
DÉMOPHON.
ISABELLE.
DÉMOPHON.
ISABELLE.
LE CHEVALIER, se montrant.
ISABELLE, à part.
DÉMOPHON, au Chevalier.
LE CHEVALIER.
DÉMOPHON.
LE CHEVALIER.
ISABELLE.
DÉMOPHON.
17ISABELLE.
DÉMOPHON.
LE CHEVALIER.
ISABELLE.
SCÈNE V. Araminte, Le Chevalier, Démophon, Isabelle. §
ARAMINTE, au Chevalier.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE.
LE CHEVALIER.
DÉMOPHON.
LE CHEVALIER, à Démophon.
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
DÉMOPHON, bas, au Chevalier.
LE CHEVALIER, bas, à Démophon.
DÉMOPHON, bas, au Chevalier.
LE CHEVALIER.
DÉMOPHON, bas, au Chevalier.
LE CHEVALIER.
ARAMINTE, au Chevalier.
SCÈNE VI. Araminte, Démophon, Isabelle. §
ARAMINTE, revenant sur ses pas.
SCÈNE VII. Démophon, Isabelle. §
DÉMOPHON.
18ISABELLE.
DÉMOPHON.
SCÈNE VIII. Ménechme, Valentin, Démophon, Isabelle. §
VALENTIN, à Ménechme, dans le fond.
DÉMOPHON, allant à Ménechme, qu’il prend pour le Chevalier.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON, bas.
MÉNESCHME.
ISABELLE, à part.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
ISABELLE, bas.
MÉNESCHME.
ISABELLE.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
ISABELLE.
SCÈNE IX. Démophon, Ménechme, Valentin. §
DÉMOPHON, à part.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
SCÈNE X. Ménechme, Valentin. §
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
SCÈNE XI. M. Coquelet, Ménechme, Démophon, Valentin. §
VALENTIN, à part.
MONSIEUR COQUELET, à Ménechme, qu’il prend pour le Chevalier.
MÉNESCHME.
MONSIEUR COQUELET.
MÉNESCHME, bas, à Valentin.
VALENTIN, bas, à Ménechme.
MÉNESCHME, bas, à Valentin.
MONSIEUR COQUELET.
VALENTIN, bas, à Ménechme.
MONSIEUR COQUELET.
MÉNESCHME.
MONSIEUR COQUELET.
MÉNESCHME.
MONSIEUR COQUELET.
MÉNESCHME.
MONSIEUR COQUELET.
VALENTIN, prenant Monsieur Coquelet à part.
MONSIEUR COQUELET, à Valentin.
VALENTIN, bas, à Monsieur Coquelet.
MONSIEUR COQUELET, à part, à Valentin.
VALENTIN, bas.
MONSIEUR COQUELET, à Ménechme.
MÉNESCHME.
MONSIEUR COQUELET.
MÉNESCHME.
MONSIEUR COQUELET.
MÉNESCHME.
VALENTIN, à Ménechme.
MONSIEUR COQUELET, ramassant les morceaux.
MÉNESCHME.
VALENTIN, se mettant entre deux.
MONSIEUR COQUELET.
VALENTIN, à M. Coquelet.
MONSIEUR COQUELET.
VALENTIN, à Monsieur Coquelet.
MONSIEUR COQUELET.
MÉNESCHME, à Valentin.
VALENTIN, à Ménechme.
MONSIEUR COQUELET.
VALENTIN, à Monsieur Coquelet.
MONSIEUR COQUELET.
SCÈNE XII. Ménechme, Valentin. §
VALENTIN.
MÉNESCHME.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
SCÈNE XIII. §
VALENTIN, seul.
ACTE IV §
SCÈNE I. §
VALENTIN, seul.
SCÈNE II. Finette, Valentin. §
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
SCÈNE III. Ménechme, Valentin, Finette. §
VALENTIN.
MÉNESCHME, à Valentin.
FINETTE, à Ménechme, qu’elle prend pour le Chevalier.
MÉNESCHME, à Finette.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
VALENTIN.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
MÉNESCHME.
FINETTE, à part.
VALENTIN, bas, à Ménechme.
MÉNESCHME, à Valentin.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE, à part.
MÉNESCHME, considérant le portrait.
VALENTIN, prenant le portrait.
MÉNESCHME, à part.
FINETTE, à Ménechme.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME.
FINETTE.
MÉNESCHME, la prenant par les épaules.
FINETTE.
VALENTIN, bas, à Ménechme.
MÉNESCHME.
VALENTIN, bas, à Finette.
FINETTE.
SCÈNE IV. Ménechme, Valentin. §
MÉNESCHME.
VALENTIN.
SCÈNE V. Le Marquis, Ménechme, Valentin. §
VALENTIN, à part.
LE MARQUIS, embrassant vivement Ménechme, qu’il prend pour le Chevalier.
23MÉNESCHME.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME, à part, à Valentin.
VALENTIN, bas, à Ménechme.
MÉNESCHME, bas, à Valentin.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME, le contrefaisant.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
LE MARQUIS, montrant Valentin.
VALENTIN.
LE MARQUIS.
VALENTIN.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME, à part.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
LE MARQUIS.
VALENTIN, bas, à Ménechme.
MÉNESCHME, bas, à Valentin.
LE MARQUIS.
MÉNESCHME.
VALENTIN, au Marquis.
LE MARQUIS, prenant la bourse.
SCÈNE VI. Ménechme, Valentin. §
MÉNESCHME.
25VALENTIN, courant après lui.
MÉNESCHME.
SCÈNE VII. §
VALENTIN, seul.
SCÈNE VIII. Le Chevalier, Valentin. §
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
LE CHEVALIER.
SCÈNE IX. Isabelle, Le Chevalier, Valentin. §
LE CHEVALIER.
ISABELLE, traversant le théâtre.
VALENTIN.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
VALENTIN, à Isabelle.
ISABELLE, à Valentin.
VALENTIN.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
VALENTIN, au Chevalier.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
VALENTIN, montrant la marque du chapeau du Chevalier.
ISABELLE.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
ACTE V §
SCÈNE I. Araminte, Finette. §
FINETTE.
ARAMINTE.
FINETTE.
ARAMINTE.
FINETTE.
ARAMINTE.
FINETTE.
SCÈNE II. Démophon, Isabelle, Araminte, Finette. §
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
DÉMOPHON.
ARAMINTE.
ISABELLE.
ARAMINTE.
ISABELLE.
ARAMINTE.
DÉMOPHON.
SCÈNE III. Ménechme, Démophon, Isabelle, Araminte, Finette. §
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON.
MÉNESCHME.
ARAMINTE, à Ménechme.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
MÉNESCHME.
FINETTE, à Ménechme.
MÉNESCHME.
ARAMINTE.
MÉNESCHME, à Démophon.
MÉNESCHME, à part, à Démophon.
DÉMOPHON, à part, à Ménechme.
MÉNESCHME.
SCÈNE IV. Robertin, Ménechme, Démophon, Isabelle, Araminte, Finette. §
DÉMOPHON.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ISABELLE.
ROBERTIN, à Isabelle.
MÉNESCHME, à Robertin.
MÉNESCHME, à Robertin.
31ROBERTIN.
ARAMINTE.
DÉMOPHON.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
DÉMOPHON, se mettant entre deux.
ISABELLE.
ARAMINTE.
FINETTE.
SCÈNE V. Ménechme, Valentin, Démophon, Araminte, Isabelle, Robertin, Finette. §
VALENTIN.
MÉNESCHME, montrant Valentin.
VALENTIN.
MÉNESCHME, le prenant au collet.
VALENTIN.
ROBERTIN, à Démophon.
DÉMOPHON, à Ménechme.
ARAMINTE.
FINETTE, à Ménechme.
MÉNESCHME.
SCÈNE VI. Le Chevalier, Ménechme, Démophon, Araminte, Isabelle, Robertin, Valentin, Finette. §
LE CHEVALIER, à part.
DÉMOPHON, apercevant le Chevalier.
ROBERTIN, apercevant le Chevalier.
ARAMINTE, apercevant le Chevalier.
FINETTE, apercevant le Chevalier.
MÉNESCHME, apercevant le Chevalier.
LE CHEVALIER, à Ménechme.
MÉNESCHME, à part.
LE CHEVALIER.
MÉNESCHME.
LE CHEVALIER.
MÉNESCHME.
LE CHEVALIER.
MÉNESCHME.
LE CHEVALIER.
MÉNESCHME.
LE CHEVALIER.
MÉNESCHME.
LE CHEVALIER.
MÉNESCHME.
LE CHEVALIER.
MÉNESCHME.
LE CHEVALIER.
MÉNESCHME.
FINETTE, à Araminte.
DÉMOPHON.
ISABELLE, reconnaissant la marque du chapeau du Chevalier.
ARAMINTE, prenant Ménechme par le bras.
MÉNESCHME, à Araminte.
VALENTIN, prenant Finette par le bras.
ROBERTIN, prenant les deux frères par le bras.
LE CHEVALIER, à Robertin.
MÉNESCHME.
ROBERTIN.
LE CHEVALIER.
MÉNESCHME.
ARAMINTE, au Chevalier.
LE CHEVALIER, à Ménechme et à Araminte.
MÉNESCHME, embrassant le Chevalier.
FINETTE.
ARAMINTE.
MÉNESCHME.
DÉMOPHON, au Chevalier.
LE CHEVALIER.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.
FINETTE.
VALENTIN.