M. DCC. XI. AVEC PRIVILÈGE DU ROI.
Mise au Théâtre par M. Dominique.
PRIVILÈGE DU ROI. §
LOUIS PAR LA GRAGE DE DIEU ROY DE FRANCE ET DE NAVARRE, à nos amez et féaux conseillers, les Gens tenants nos Cours de Parlement, maîtres des requêtes ordinaires de nôtre Hôtel, Grand Conseil, prévôt de Paris, baillifs, sénéchaux, leurs lieutenants civils, et autres nos Justiciers qu’il appartiendra., SALUT. JACQUES EDOUARD. Libraire à Paris, Nous ayant fait exposer qu’il désirerait faire imprimer une Comédie intitulée l’École Galante, ou l’art d’aimer par Arlequin, Comédie; s’il nous plaisait lui accorder nos lettres de privilèges pour la ville de Paris seulement, Nous avons permis et permettons par ces présentes audit Édouard de faire imprimer ledit Livre en telle forme, marge, caractère, et autant de fois que bon lui semblera, et de le vendre, faire vendre et débiter par tout nôtre Royaume pendant le temps de trois années consécutives, à compter du jour de la datte desdites présentes. Faisons défenses à toutes personnes de quelque qualité et condition qu’elles soient, d’en introduire d’impression étrangère dans aucun lieu de nôtre obéissance; et à tous Imprimeurs Libraires dans ladite Ville de Paris seulement, d’imprimer, ou faire imprimer, ledit Livre, en tout ni en partie, et d’y en faire venir, vendre et débiter d’autre impression, que de celle qui aura été faite pour ledit exposant, sous peine de confiscation des Exemplaires contrefaits, de mille livres d’amande contre chacun des contrevenants, dont un tiers à nous, un tiers à l’Hôtel Dieu de Paris, l’autre tiers audit Exposant, et de tous dépens, dommages et intérêts. A la charge que ces présentes seront enregistrées tout au long sur le Registre de le Communauté des Imprimeurs et Libraires de Paris, et ce dans trois mois de la datte d’icelles; Que l’impression dudit Livre sera faite dans nôtre Royaume et non ailleurs, en bon papier et en beaux caractères, conformément aux règlements de la Librairie; et qu’avant que de l’exposer en vente il en sera mis deux Exemplaires dans nôtre Bibliothèque publique, un dans celle de nôtre Château de Louvre, et un dans celle de notre très cher et féal Chevalier, Chancelier de France, le Sieur Phelypeaux Comte de Pontchartrain, Commandeur de nos Ordres : le tout à peine de nullité des présentes. Du contenu desquelles vous mandons et enjoignons de faire jouir l’Exposant ou ses ayants cause, pleinement et paisiblement, sans souffrir qu’il leur soit fait aucun trouble ou empêchement. Voulons que la copie desdites présentes qui fera imprimée au commencement ou à la fin dudit Livre, soit tenue pour dûment signifiée, et qu’aux copies collationnées par l’un de nos amés et féaux Conseillers et secrétaires, foi soit ajoutée comme à l’Original. Commandons au premier nôtre Huissier ou Sergent de faire pour l’exécution d’icelles tous actes requis et nécessaires, sans demander autre permission, et nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, et Lettres à ce contraires. Car tel est notre plaisir. Donné à Versailles le trente-uniéme jour de Janvier, l’an de grâce mil sept cens onze, et de nôtre Règne le soixante-huitième.
Par le Roi en son Conseil, De AMET.
Registré sur le Registre no 3. de la Communauté des Libraires et Imprimeurs de Paris, page 132. no. 139. conformément aux règlements, et notamment à l’Arrêt du 13 août 1703. A Paris le 10. février 1711.
Signé DEANAY. Syndic.
APPROBATION. §
J’ai lu par ordre de Monseigneur le Chancelier l’École Galante etc., n’y ai rien trouvé qui en doive empêcher l’Impression. Fait à Paris ce 15 Janvier 1711.
Signé, FONTENELLE.
Préface §
Quoique cette Comédie n’ait point été représentée à Paris, elle n’en mérite pas moins la lecture des personnes de bon goût. Le succès qu’elle a eue à Lyon, est une preuve de la capacité du jeune auteur, dont la réputation est déjà si répandue : le nom de Dominique portera un Lecteur délicat à lui accorder ici les mêmes applaudissements. Ce fut le 26 Septembre 1710 que cette pièce commença à paraître pour la première fois sur le Théâtre de Lyon ; elle fut jouée prés de trois mois de suite avec le même nombre de spectateurs que le premier jour ; Monsieur de Meliand Intendant de Lyon, en était un des principaux, et fut toujours un des plus assidus.
On connaît parfaitement dans cette comédie le caractère d’une femme sujette au changement : car il est bien rare de n’être point dupé dans l’art d’aimer ; et il n’y a presque point de scène dans cette comédie où les différents détours dont ce sexe est capable ne soient parfaitement dépeints.
Notre auteur surtout s’est appliqué à caractériser les fourberies et les déguisements dont elles se servent la plupart, pour exprimer leur amour, souvent le plus trompeur, lorsqu’on se le persuade le plus sincère : en un mot l’École Galante servira peut-être de guide à ces jeunes étourdis, qui trop prévenus de leur mérite, ou plutôt trop entêtés de faire un choix à la boulvue, sans consulter la raison, ou sans se consulter eux-mêmes, acceptent aveuglément un parti auquel ils ne sont nullement destinés, et qui dans la suite est la source de tous les malheurs de leur vie.
Tout le monde convient que les Comédiens Italiens surpassent toujours les Comédiens Français dans le temps de leur établissement à Paris ; et ils peignaient avec tant d’art les mœurs et les différents états de la vie, que chacun se trouvait instruit et diverti en même temps. Cependant Paris, cette superbe Ville, si abondante en toutes choses, et si magnifique dans ses plaisirs, se trouve aujourd’hui privée de celui de ces représentations italiennes : on ne peut plus entremêler ses divertissements ; il faut toujours, malgré qu’on en aie, voir les mêmes pièces françaises, ou s’il s’en présente une nouvelle, c’est souvent avec une si grande confusion, qu’il n’y a point d’agrément d’en voir les représentations.
Tout Paris a été témoin de cette foule de peuple qui allait aux Représentations italiennes qu’on a vu sur le Théâtre depuis quelques années, et dont le sucés a causé de si grands démêlés entre des gens qui étaient d’autant plus jaloux des applaudissements qui étaient donnés à ces Fragments italiens, qu’ils étaient chagrins de voir le Théâtre Français désert. C’est enfin pour satisfaire au public, qu’on donne l’édition de cette Comédie nouvelle, pour délasser, et pour consoler en partie ceux qui ont regretté et regrettent encore la suppression ces illustres acteurs, qui par leur mérite naturel propre à la Nation Italienne, s’attiraient sans contredit, le titre glorieux d’hommes accomplis dans leur profession.
Il est à propos d’avertir le Public, que ce n’est pas seulement dans cette pièce que le génie du sieur Dominique pour le Théâtre s’est fait connaître; dans toutes les provinces où il a paru, les personnes du premier rang se faisaient un plaisir d’être très assidus aux nouvelles pièces qu’il produisait. On pourra dans la suite en faire part au public, et comme c’est toujours lui qui décide mieux que personne de tout ce qui est nouveau, on a commencé par donner l’École Galante de cet Auteur, et on se flatte par avance qu’elle sera bien reçue. L’approbation qu’elle a eue de quelques personnes, dont le goût pour toutes les pièces d’esprit est sûr, en est un préjugé certain.
ACTEURS §
- LE DOCTEUR.
- SPINETTE, Fille du Docteur.
- ARLEQUIN, Maître d’Ecole.
- ARGENTINE, Promise à Arlequin.
- OCTAVE, Amant de Spinette.
- SCARAMOUCHE, Valet d’Octave.
- LÉANDRE.
- MEZZETIN, Valet de Léandre.
- PIERROT.
- DANSEURS.
- LA CHANTEUSE.
- TROUPE DE MASQUES.
ACTE I §
SCÈNE PREMIÈRE. Argentine, Arlequin. §
ARGENTINE.
ARLEQUIN.
ARGENTINE.
ARLEQUIN.
ARGENTINE.
ARLEQUIN.
ARGENTINE.
ARLEQUIN.
ARGENTINE.
ARLEQUIN.
ARGENTINE.
ARLEQUIN.
ARGENTINE.
ARLEQUIN.
SCÈNE II. §
ARGENTINE, seule.
SCÈNE III. Pierrot, Argentine. §
PIERROT.
ARGENTINE.
PIERROT.
ARGENTINE.
PIERROT.
ARGENTINE.
PIERROT, bas.
SCÈNE IV. Argentine, Pierrot, Arlequin se met au milieu, Pierrot l’embrasse. §
PIERROT.
ARLEQUIN.
PIERROT.
ARGENTINE, à Arlequin.
ARLEQUIN.
PIERROT.
ARGENTINE.
PIERROT.
ARLEQUIN.
ARGENTINE.
ARLEQUIN, à Pierrot.
PIERROT.
ARLEQUIN, prend son coutelas.
PIERROT, en s’en allant.
ARGENTINE.
ARLEQUIN, seul.
SCÈNE V. Léandre, Octave. §
OCTAVE.
LÉANDRE.
OCTAVE.
LÉANDRE.
SCÈNE VI. Arlequin, Léandre, Octave. §
ARLEQUIN.
OCTAVE.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
OCTAVE, à Léandre.
SCÈNE VII. Arlequin, Léandre. §
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
SCÈNE VIII. Octave, Scaramouche. §
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
SCÈNE IX. Spinette, Octave, Scaramouche. §
SPINETTE.
SCARAMOUCHE.
SPINETTE, en s’en allant.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SPINETTE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SPINETTE.
OCTAVE.
SPINETTE.
OCTAVE, à Scaramouche qui pleure.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE, en pleurant.
SPINETTE.
OCTAVE.
SPINETTE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
SPINETTE.
OCTAVE.
SPINETTE.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SPINETTE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE, seul.
SCÈNE X. Le Docteur, Scaramouche. §
LE DOCTEUR.
SCÈNE XI. Scaramouche, Le Docteur. §
SCÈNE XII. Octave sortant de la Maison du Docteur, Scaramouche. §
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
SCÈNE XIII. Argentine à sa fenêtre tenant un Livre à la main, Léandre qui survient. §
ARGENTINE.
LÉANDRE, bas.
ARGENTINE.
LÉANDRE.
ARGENTINE.
LÉANDRE.
ARGENTINE.
LÉANDRE.
ARGENTINE.
LÉANDRE.
ARGENTINE.
LÉANDRE.
ARGENTINE.
LÉANDRE.
ARGENTINE.
LÉANDRE, seul.
SCÈNE XIV. Octave, Scaramouche, Plusieurs Valets avec des Lanternes, La Chanteuse, Spinette à la fenêtre. §
SCARAMOUCHE, aux Symphonistes.
LA CHANTEUSE.
SCÈNE XV. Le Docteur d’un côté, Arlequin de l’autre. §
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
ACTE II §
SCÈNE PREMIÈRE. §
MEZZETIN, seul en chantant.
SCÈNE II. Léandre, Mezzetin. §
LÉANDRE, pensif.
MEZZETIN, en lui voulant parler.
LÉANDRE, en se promenant.
MEZZETIN.
LÉANDRE se promenant toujours.
MEZZETIN.
LÉANDRE, apercevant Mezzetin.
MEZZETIN.
LÉANDRE.
MEZZETIN.
LÉANDRE.
MEZZETIN.
LÉANDRE.
MEZZETIN.
LÉANDRE.
MEZZETIN.
LÉANDRE.
MEZZETIN.
SCÈNE III. Léandre, Arlequin, qui survient. §
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN, à part.
LÉANDRE, en lui montrant la Maison.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN, en montrant avec la doigt une autre maison.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
SCÈNE IV. Argentine, Léandre, Arlequin à l’écart. §
LÉANDRE.
ARGENTINE.
ARLEQUIN, à l’écart.
LÉANDRE.
ARGENTINE.
LÉANDRE.
ARLEQUIN, bas.
ARGENTINE.
ARLEQUIN, bas.
LÉANDRE.
ARLEQUIN, bas.
ARGENTINE.
LÉANDRE.
ARGENTINE.
LÉANDRE.
SCÈNE V. §
ARLEQUIN, seul.
SCÈNE VI. Le Docteur, Spinette. §
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
SPINETTE.
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
LE DOCTEUR, à part.
SCÈNE VII. Spinette, Octave, qui survient. §
SPINETTE.
OCTAVE.
SPINETTE.
OCTAVE.
SCÈNE VIII. §
LE DOCTEUR.
SCÈNE IX. Spinette surprise en voïant son père, Le Docteur. §
SPINETTE, ouvre la porte.
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
LE DOCTEUR, seul.
SPINETTE.
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
LE DOCTEUR.
SPINETTE, après qu’Octave a passé sous la Robe.
LE DOCTEUR.
SPINETTE.
SCÈNE X. §
ARLEQUIN.
SCÈNE XI. Argentine, Arlequin. §
ARGENTINE.
ARLEQUIN, lui présentant un Mousqueton comme s’il voulait tirer sur elle.
ARGENTINE, se met à genoux.
ARGENTINE.
ARLEQUIN.
ARGENTINE.
ARLEQUIN, seul.
SCÈNE XII. §
PIERROT, seul.
SCÈNE XIII. Scaramouche, Pierrot. §
SCARAMOUCHE.
PIERROT.
SCARAMOUCHE.
PIERROT.
SCARAMOUCHE.
PIERROT.
PIERROT, seul.
ACTE III §
SCÈNE PREMIÈRE. §
OCTAVE, seul.
SCÈNE II. Léandre, Octave. §
LÉANDRE.
OCTAVE.
LÉANDRE.
OCTAVE.
LÉANDRE.
OCTAVE.
LÉANDRE.
OCTAVE.
LÉANDRE.
OCTAVE.
LÉANDRE.
OCTAVE.
SCÈNE III. Scaramouche, Octave, Léandre. §
OCTAVE, à Scaramouche.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
OCTAVE.
SCARAMOUCHE.
SCÈNE IV. Le Docteur, Scaramouche à l’écart. §
LE DOCTEUR, sortant de la Maison.
SCARAMOUCHE.
SCÈNE V. Spinette avec une coiffe et une écharpe. §
SCARAMOUCHE.
SPINETTE.
SCARAMOUCHE.
SPINETTE.
SCARAMOUCHE.
SPINETTE.
SCARAMOUCHE.
SCÈNE VI. §
MEZZETIN, seul.
SCÈNE VII. Argentine, Mezzetin. §
ARGENTINE.
MEZZETIN.
ARGENTINE.
MEZZETIN.
ARGENTINE, lit.
MEZZETIN.
ARGENTINE.
MEZZETIN, seul.
18SCÈNE VIII. Mezzetin, Argentine couverte d’une coiffe, et d’une écharpe, Arlequin qui vient ensuite. §
MEZZETIN.
ARGENTINE.
MEZZETIN.
ARLEQUIN.
MEZZETIN.
ARLEQUIN.
MEZZETIN.
ARLEQUIN, seul.
SCÈNE IX. §
LE DOCTEUR, seul.
ARLEQUIN, sort de chez lui d’un air tout éfarré.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN, seul.
SCÈNE X. Le Docteur sortant tout transporté de sa Maison, Arlequin. §
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN, contrefaisant le Docteur.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
LE DOCTEUR.
ARLEQUIN.
SCÈNE XI. Pierrot, Arlequin, Le Docteur. §
PIERROT.
19LE DOCTEUR.
PIERROT.
ARLEQUIN.
PIERROT, à Arlequin.
ARLEQUIN.
PIERROT.
ARLEQUIN.
PIERROT.
LE DOCTEUR.
PIERROT.
ARLEQUIN.
PIERROT.
SCÈNE XII. Léandre, Octave masqués, Argentine, Spinette en Espagnolettes, Mezzetin masqué, Scaramouche en Cupidon, Troupe de Masques, Le Docteur, Arlequin, Pierrot, La Chanteuse. §
LE DOCTEUR.
PIERROT.
LA CHANTEUSE.
ARLEQUIN.
PIERROT.
LÉANDRE, se démasquant.
ARLEQUIN.
SCARAMOUCHE.
ARLEQUIN.
LÉANDRE.
ARGENTINE, à Arlequin.
OCTAVE, au Docteur.
LE DOCTEUR.
OCTAVE.
SPINETTE.
LE DOCTEUR.
SCARAMOUCHE.
PIERROT.
LE DOCTEUR.
PIERROT.
ARLEQUIN.
LA CHANTEUSE.
LÉANDRE.
ARGENTINE, à Léandre.
ARLEQUIN.
MEZZETIN.
PIERROT.
SCARAMOUCHE.
ARLEQUIN, au parterre.