M. DC LXII
par M. T. CORNEILLE
MONSEIGNEUR, §
Timocrate est trop jaloux de sa gloire pour différer plus longtemps à venir rendre à VOTRE ALTESSE les hommages qu’il lui en doit ; il en a reçu beaucoup dans les témoignages publics, que tout la Cour et tout Paris semblent avoir rendus à son avantage, mais ce n’est qu’en vous la consacrant qu’il s’en peut assurer la possessions, et il vous la consacre avec d’autant plus d’ardeur que la tenant entière de votre illustre suffrage, c’est dans ce respectueux effet de reconnaissance qu’il en trouve le précieux achèvement. S’il voit quelque chose de flatteur dans les acclamations qu’il en ont fait jusqu’ici tout l’éclat il sait qu’elle n’ont rien de durable, que l’injuste caprice du siècle les rend souvent communes à toutes les nouveautés qui le surprennent, et qu’ainsi il en est peu que le temps puisse sauver de l’injurieux soupçon d’avoir été plutôt données à de faux brillants qu’à de véritables beautés. La crainte en est sans doute fâcheuse à ceux qui comme lui sont poussés d’une belle ambition, mais il n’ose croire à couvert dans l’espoir dont il se flatte que V.A. ne dédaignera pas de lui accorder la continuation des grâces qu’elle a déjà tant de fois si généreusement prodiguées, et que l’honorant de sa protection, elle lui permettra de publier qu’il faut assez heureux pour trouver quelque part dans son estime, lors même qu’il était le moins en état d’y pouvoir aspirer. Après cela, MONSEIGNEUR, il est impossible que l’on contribue à son seul bonheur cet accueil obligeant qu’on lui a fait en France, et dont la juste d"fiance que lui donnait le peu de mérite lui souffrait à peine de concevoir les souhaits ; pour en convaincre ses plus obstinés ennemis, il suffit qu’il se puisse vanter d’avoir su plaire à V.A. Il n’y a personne qui ne sache que votre esprit est d’une trempe si relevée, qu’étant incapable de se laisser éblouir, s’il excuse toujours avec bonté, il ne loue jamais qu’avec justice, et que ce qui échappe quelquefois aux connaissances les plus éclairées, n’offre rien d’obscur aux lumières perçantes qui lui ont pénétrer les moindre défauts avec un plein discernement. Pour moi, MONSEIGNEUR, comme je n’oublierai jamais l’honneur que je reçus dans le commandement que vous me fîtes de vous aire la lecture de cet ouvrage longtemps avant qu’il fut représenté, je me souviendrai toujours avec admiration de cette merveilleuse vivacité, qui vous fit découvrir d’abord les intérêts les plus cachés de Cléomène, et développer dès ses premiers sentiments le secret d’un noeud qui pendant quatre actes a laissé Timocrate inconnu presque à tout le monde : mais quoi que ce Roi si longtemps persécuté, semble n’avoir plus rien à craindre aujourd’hui de sa mauvaise fortune, et qu’après avoir hautement triomphé de ses malheurs il ne doute pas qu’il ne rencontre auprès de V.A. un asile inviolable contre les plus rudes attaques dont il pourrait être menacé, ce n’est pas le seul avantage qu’il en ose attendre, il y voit la certitude de tout ce qui peut remplir les désirs les plus étendus, et il se tient plus assuré de l’Immortalité sus l’éclatant appui de votre nom, que si les marbres et les bronzes lui répondaient déjà de cette seconde vie, qui comme elle est le charme des grands coeurs, en fait aussi la plus solide récompense. En effet, MONSEIGNEUR, quel avenir assez éloigné se voudrait défendre d’avoir pour tut ce qui portera cette noble marque, le même respect qu’on lui rend aujourd’hui, et ferait pas vanité de contribuer quelque chose à dérober à ’injure des années ce qu’il trouvera soutenu d’une recommandation si favorable ? Si l’on jette les yeux sur ces grands personnages dont avec les éminentes qualités vos avez hérité le sang et ce fameux nom de GUISE, on admire pas moins de héros que vous pouvez comptez d’aïeux, et le nombre des miracles de leurs vies n’est réglé que par celui de leurs actions. Toutes nos histoires nous en fournissent à l’envi les pompeuses et surprenantes images ? Mais de quelques vives couleurs qu’elles s’étudient à les faire briller, elles ne nous représentent rien en eux de si grand et de si achevé dont nous ne voyions en eux de si grand ni de si achevé dont nous ne voyions aujourd’hui avec étonnement les merveilles glorieusement ramassées en la seule personne de V.A. Cette inimitable grandeur d’âme qui règne dans tous vos sentiments, cette haute générosité qui se rend inséparable de tout ce que vous faites, et tant d’autres dons excellents dont le ciel s’est plu à se montrer si libéral en votre faveur, sont d’irréprochables témoins de cette vérité, et les rayons secrets de cette majesté brillante qui nous fait respecter en vous un grand Prince, semblent être moins un droit de votre naissance, que le caractère de votre vertu. Mais MONSEIGNEUR, je ne m’aperçois pas que me laissant emporter insensiblement à mon zèle, je donne lieu de croire que j’oserais presque entreprendre de vous louer, je suis trop persuadé de ma faiblesse pour faire un projet, qui ne servant qu’à la rendre publique, ne souffrirait aucune excuse à mon indiscrète témérité, et si je dois me hasarder à la faire paraître, il vaut mieux que ce soit à vous protester que si des voeux entièrement soumis, et une vénération très profonde pouvaient mériter d’être considérés dans le peu que je suis, je ne serais peut peut-être pas tout à fait indigne d’obtenir la permissions de me dire
MONSEIGNEUR
De V.A.
Le Très humble et très obéissant serviteur.
T. CORNEILLE.
AU LECTEUR §
Je ne doute point que je me hasarde beaucoup en donnant cet ouvrage au public, il a eu tant de bonheur au théâtre, qu’il est bien difficile qu’il en ait autant sur le papier, et que la méditation de la lecture n’y laisse découvrir des défauts que les agréments de la représentation semblent avoir jusqu’ici assez heureusement déguisés. J’y en connais beaucoup que ma faiblesse m’a contraint d’y souffrir, et je voudrais qu’il me fut aussi facile de l’en purger entièrement, qu’il me sera aisé de répondre à deux objections que l’on m’a faites.
La première est qu’il pêche contre le vraisemblable. J’avoue que Timocrate est fort adroit et fort heureux dans sa conduite, et qu’il faut l’être beaucoup pour trouver toujours au besoin des occasions si justes et si favorables, de passer comme lui d’un parti à l’autre selon les divers intérêts qui l’y obligent, mais il ne fait rien qui soit impossible, et tout ce qui peut arriver, sans violenter beaucoup l’ordre commun de la nature, doit être réputé comme vraisemblable, puisqu’Aristote lui-même nous apprend qu’il est vraisemblable que plusieurs choses arrivent contre le vraisemblable. J’ajoute à cela qu’on ne doit pas s’étonner s’il n’est point reconnu dans Argos pour être le Roi de Crète, puisqu’ayant été obligé de prendre le couronne après le mort de son père, dans le dessin qu’il avait d’entreprendre ce qu’on lui voit exécuter, il avait donné ordre qu’aucun étranger n’y fut reçu ; ce qu’il marque lui-même dans ce qu’il dit à la Princesse au second acte,
Et quoi qu’un ordre exprès connu dans chaque port
De Crète aux étrangers eut défendu l’abord etc.
La seconde objection a été plus générale. Ce long équivoque de Cléomène qui tâchant de rendre la Princesse favorable à Timocrate pour prendre l’occasion de se déclarer, semble toujours agir contre soi, laisse les auditeurs dans une suspension d’esprit si agréable, que ce plaisir cessant par le reconnaissance, on veut que la pièce soit finie, et sans faire un examen plus exact des parties qui doivent composer un poème, on prend droit de dire que le cinquième acte est inutile. Mais il est certain qu’on en peut juger de cette sorte sans prendre la noeud pour le dénouement, et si je peux me servir de l’exemple d’Héraclius, tout ce qui se passe avant le quatrième acte ne tient lieu que de préparatifs pour mettre Phocas entre deux princes dont il sait que l’un est son fils, et l’autre celui de Maurice, sans qu’il puisse connaître lequel des deux est l’ennemi dont il a juré la perte, et c’est ce qui en fait le noeud. L’on trouvera la même chose dans Timocrate dont les trois premiers actes ne servent d’acheminement à mettre la Reine dans l’obligation de deux serments qui la forcent de faire épouser sa fille à celui même qu’elle ne se peut dispenser de perdre. Si l’on trouve que l’embarras où elle se rencontre dans l’aveu que lui fait Cléomène de sa véritable naissance fait le dénouement de la pièce, j’avoue que le cinquième acte est inutile : mais pou faire mieux voir qu’il est absolument nécessaire, je ne veux point employer d’autres raisons que celles qu’apporte Monsieur l’Abbé d’Aubignac dans ce qu’il a écrit depuis peu dans sa Pratique du théâtre, pour appuyer une maxime qui assurément est infaillible. Il faut prendre garde, dit-i, que la catastrophe, achève pleinement la poème dramatique, c’est à dire qu’il ne reste rien après ou de ce que les spectateurs doivent savoir, ou qu’ils veuillent entendre, car s’ils ont raison de demander, qu’est devenu quelque personnage intéressé dans les grandes intrigues du théâtre, ou s’il ont juste sujet de savoir, quels sont les sentiments de quelqu’un des principaux acteurs après le dernier événement qui fit la catastrophe, la pièce n’est pas finie, il y manque un dernier trait ; et si les spectateurs ne sont pas encore pleinement satisfaits, la poème assurément n’a pas encore fait ce qu’il doit. Je laisse à juger suivant cette doctrine aussi judicieuse que véritable, s’il m’étais permis de finir Timocrate par un sentiment de générosité qui aurait porté le Raine incontinent après sa reconnaissance, à violer les serments qu’elle avait fait de venger l mort de son mari, en faveur de ce qu’elle doit à Cléomère ; l’auditeur n’aurait-il pas eu lieu de me dire qu’il attendait autre chose que cette exacte religion que les anciens avaient de les observer, et de l’inquiétude où la devait réduire cette contrariété de serments, auxquels elle s’était témérairement engagée : D’ailleurs, si le dénouement se fut fait avec tant de précipitation, eut-il peu demeurer pleinement satisfait du côté d’Eriphile et de Nicandre, et n’aurait-il pas eu raison de demander quels auraient été les sentiments de l’une, quand elle connaît le péril où Timocrate s’expose pour elle en se livrant lui-même à la vengeance de la Reine, et ce rival qu’il n’avait jusques la considéré comme un illustre aventurier ?
Au reste, comme j’ai toujours rendu justice aux Espagnols de qui j’ai emprunté presque tout les sujets comiques que j’ai traités avant celui-ci, je n’en doit pas moins à l’Incomparable auteur de Cléopâtre, et je croirais mal répondre à la profession que je fais de l’honorer, si je n’avouais hautement que l’histoire d’Alcamène et de Ménalippe m’a fourni les premières idées de cet ouvrage. Il l’a traité avec tant d’art dans la huitième partie de son roman, et l’a enrichie d’incidents si bien imaginés, que si le théâtre dont l’action est plus resserrée, les avait pu souffrir, il aurait été impossible d’y faire jamais rien paraître de plus beau ni de plus surprenant.
ACTEURS §
- TIMOCRATE, roi de Crète, déguisé sous le nom de Cléomène.
- LA REINE d’ARGOS.
- CRESPHONTE, roi voisin.
- LEONTIDAS, roi voisin.
- ERIPHILE, fille de la Reine.
- NICANDRE, prince sujet de la Reine d’Argos.
- TRASILE, prince sujet du roi de Crète.
- DORIDE, confidente d’Eriphile.
- CLÉONE, confidente d’Eriphile.
- ARCAS, confident de Nicandre.
ACTE I §
SCÈNE I. Nicandre, Arcas. §
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
SCÈNE II. Nicandre, Cléomène, Arcas. §
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
4CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
SCÈNE III. La Reine, Cresphonte, Léontidas, Nicandre, Cléomène. §
LA REINE, à Cresphonte.
CRESPHONTE.
LA REINE.
CRESPHONTE.
LEONTIDAS.
NICANDRE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
CRESPHONTE.
CLÉOMÈNE.
CRESPHONTE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE, se levant.
LEONTIDAS.
LA REINE.
SCÈNE IV. Nicandre, Cléomène. §
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
ACTE II §
SCÈNE I. Eriphile, Cléone. §
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
SCÈNE II. Eriphile, Nicandre, Cléone. §
NICANDRE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
ERIPHILE.
SCÈNE III. Eriphile, Cléone. §
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
SCÈNE IV. Eriphile, Cléomène. §
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
ACTE III §
SCÈNE I. §
ERIPHILE.
SCÈNE II. Eriphile, Cléone. §
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
SCÈNE III. La Reine, Eriphile, Doride, Cléone. §
ERIPHILE.
LA REINE.
ERIPHILE.
LA REINE.
ERIPHILE.
LA REINE.
ERIPHILE.
LA REINE.
ERIPHILE.
LA REINE.
ERIPHILE.
LA REINE.
ERIPHILE.
LA REINE.
SCÈNE IV. La Reine, Eriphile, Arcas, Doride, Cléone. §
LA REINE.
ARCAS.
LA REINE.
ARCAS.
ERIPHILE.
LA REINE.
ARCAS.
LA REINE.
ARCAS.
LA REINE.
ERIPHILE.
LA REINE.
ARCAS.
LA REINE, à Ériphile.
ERIPHILE.
LA REINE.
SCÈNE V. La Reine, Nicandre, Arcas, Doride. §
NICANDRE.
LA REINE.
NICANDRE.
LA REINE.
NICANDRE.
LA REINE.
DORIDE.
SCÈNE VI. La reine, Nicandre, Cléomène, Arcas, Doride. §
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
SCÈNE VII. Nicandre, Arcas. §
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ACTE IV §
SCÈNE I. Nicandre, Arcas. §
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
ARCAS.
NICANDRE.
SCÈNE II. Nicandre, Doride, Arcas. §
NICANDRE.
DORIDE.
NICANDRE.
DORIDE.
NICANDRE.
DORIDE.
NICANDRE.
DORIDE.
NICANDRE.
ARCAS.
DORIDE.
SCÈNE III. Nicandre, Cléomène, Arcas. §
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
CLÉOMÈNE.
NICANDRE.
SCÈNE IV. Eriphile, Cléomène, Cléone. §
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
CLÉOMÈNE.
ERIPHILE.
SCÈNE V. La Reine, Cléomène, Arcas, Doride. §
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
SCÈNE VI. La Reine, Cléomène, Trasille, Arcas, Doride. §
TRASILLE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
TRASILLE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
TRASILLE.
SCÈNE VII. La Reine, Cléomène, Arcas, Doride. §
LA REINE.
CLÉOMÈNE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE reconnu pour TIMOCRATE.
LA REINE.
CLÉOMÈNE reconnu pour TIMOCRATE.
LA REINE.
ARCAS.
CLÉOMÈNE reconnu pour TIMOCRATE.
ACTE V §
SCÈNE I. Eriphile, Cléone. §
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
SCÈNE II. Eriphile, Nicandre, Cléone. §
ERIPHILE.
NICANDRE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
SCÈNE III. Eriphile, Cléone. §
ERIPHILE.
CLÉONE.
ERIPHILE.
SCÈNE IV. Timocrate, Eriphile, Cléone. §
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
CLÉONE.
SCÈNE V. La Reine, Timocrate, Eriphile, Doride, Cléone. §
LA REINE.
TIMOCRATE.
LA REINE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
LA REINE.
SCÈNE VI. La Reine, Timocrate, Eriphile, Arcas, Doride, Cléone. §
LA REINE.
ARCAS.
LA REINE.
ARCAS.
ERIPHILE.
SCÈNE VII. La Reine, Timocrate, Eriphile, Nicandre, Arcas, Doride, Cléone. §
LA REINE.
NICANDRE.
LA REINE.
TIMOCRATE.
LA REINE.
SCÈNE VIII. La Reine, Timocrate, Eriphile, Nicandre, Trasille, Arcas, Doride, Cléone. §
TRASILLE, à Timocrate.
TIMOCRATE.
LA REINE.
TIMOCRATE.
LA REINE.
NICANDRE, à Timocrate.
ERIPHILE, à Nicandre.
TRASILLE.
LA REINE.
NICANDRE.
LA REINE.
ERIPHILE.
NICANDRE.
TIMOCRATE.
ERIPHILE.
TIMOCRATE.