M. DC. XVIV.
Jean-François Regnard
Introduction §
Cette comédie a été représentée, pour la première fois, le mardi 15 janvier 1704.
Il est très possible qu’un ancien canevas italien, intitulé, «La Finta pazza», «La Folle supposée», ait fourni à Regnard l’idée de cette comédie. Quoi qu’il en soit, on ne peut que lui savoir gré d’avoir adapté à notre théâtre un canevas informe, et d’avoir su faire une comédie très agréable, d’un sujet qui n’avait eu ancun succès sur le théâtre de l’Opéra, ni sur celui de la Comédie italienne.
Le premier opéra qui fut représenté en France était intitulé la «Festa teatrale della Finta pazza». Il fut exécuté en 1645, sur le théâtre du Petit-Bourbon : le cardinal Mazarin avait fait venir exprès des musiciens d’Italie. Cependant le succès de cet opéra ne fut que médiocre, malgré tous les soins que l’on se donna pour la réussite d’une entreprise que favorisait ce ministre.
Les comédiens italiens, lors de leur rétablissement (en 1716) firent l’ouverture de leur théâtre par La «Finta pazza», pièce italienne, qui est la même que celle qui avait été mise précédemment sur le théâtre de l’Opéra, et qui était du nombre des anciens canevas qu’ils apportaient d’Italie. Voici ce que dit à ce sujet un auteur du temps : «Le théâtre de l’hôtel de Bourgogne étant prêt, les comédiens italiens en prirent possession le lundi 1er juin 1716, et représentèrent la Folle supposée. Cette pièce ressemble en partie aux Folies Amoureuses de Regnard, et à l’Amour médecin de Molière. Il y eut grand monde à cette première représentation ; mais il me parut que les trois quarts y étaient venus autant pour voir la salle que le spectacle, et ils eurent plus lieu d’être contents que ceux qui n’y étaient venus que pour voir la pièce» (dans la "Seconde lette historique sur le nouvelle comédie italienne" par M. de Charoi). II en résulte que cette pièce eut encore moins de succès sur ce théâtre, qu’elle n’en avait eu sur celui de l’Opéra.
Regnard a été plus heureux. Ce sujet, soit qu’il en fût l’inventeur, soit qu’il l’eût emprunté des Italiens, a eu beaucoup de succès entre ses mains. Sa pièce a été représentée quatorze fois dans sa nouveauté, a été souvent reprise , et est restée au théâtre.
Un vieux tuteur, amoureux et jaloux, qui tient sa pupille captive, est la dupe des stratagèmes que l’amour suggère à cette jeune prisonnière, qui parvient, malgré la vigilance de son argus, à sortir d’esclavage. Tel est le canevas usé de cette pièce, mais que Regnard a su rajeunir par l’art avec lequel il l’a traité.
Albert, personnage dur, quinteux, et bizarre, n’est point, comme l’ont dit quelques critiques (voir Histoire du Théâtre français, tome XIV. page 332.), un vieillard imbécile ; c’est un jaloux rusé, qui ne néglige aucune précaution pour s’assurer d’un objet dont il sait qu’il n’a pu gagner le coeur; c’est un homme méfiant à qui tout le monde est suspect, et qui ne conaît pas de gardien plus sûr de sa maîtresse que lui-même.
S’il est la dupe de la feinte folie d’Agathe, on ne peut l’attribuer à l’imbécillité. La jeune personne joue ce personnage avec tant d’art, qu’Éraste lui-même s’y laisse tromper, et n’est au fait de la fourberie que lorsque sa maîtresse l’en a instruit par une lettre.
S’il croit aussi légèrement aux secrets merveilleux de Crispin, il faut avouer que la circonstance rend sa crédulité excusable. Pressé de chercher des secours au mal qui tourmente sa maîtresse, Albert saisit avec empressement tout ce qui se présente. II n’est pas rare, dans de pareilles circonstances, de donner tête baissée dans les rêveries d’un charlatan. On a vu précédemment combien Albert avait fait peu de cas, et de la science, et du personnage.
Le rôle de Crispin n’est pas non plus celui d’un arlequin balourd ; il ressemble plutôt aux arlequins intrigants et rusés que Dominique a mis sur la scène : il n’est point inutile aux projets d’Agathe, ou plutôt il aide à les consommer. Ce rôle d’ailleurs est saillant, plein de gaieté ; on ne peut que lui reprocher de ressembler un peu trop aux autres valets que Regnard a mis sur la scène.
Le rôle d’Agathe, qui a paru le meilleur de la pièce, est sans contredit le principal, et celui que l’auteur a le plus soigné ; cependant c’est celui qui nous semble le plus défectueux. On doit s’accoutumer difficilement à la hardiesse d’une jeune fllle de quinze ans, qui, sous prétexte de feindre l’extravagance, se permet les propos les plus durs et les plus injurieux contre son tuteur, les discours les plus libres et les moins mesurés à l’égard de son amant. Ce tuteur, il est vrai, est un homme haïssable ; mais si sa pupille ne ressent point pour lui d’amour, elle lui doit an moins quelque reconnaissance d’avoir élevé son enfance, quelque respect relativement à son âge. Une jeune personne qui se dépouille aussi facilement de ces sentiments perd beaucoup de l’intérêt qu’elle devrait naturellement inspirer.
L’auteur a senti ce défaut, et pour le diminuer, il a donné à Albert tous les défauts possibles : il n’en a pas fait un bonhomme simple et crédule, que sa simplicité aurait rendu quelque peu intéressant ; il n’a pas voulu qu’il fût possible de plaindre son jaloux : de cette manière il justifie, autant qu’il le peut, la conduite d’Agathe. Plus il rend pesant le joug de la servitude sous laquelle elle gémit, plus il autorise les ressorts qu’elle fait jouer pour s’en affranchir. Cependant, malgré tout son art, on sera toujours mal disposé pour une jeune fille capable d’une entreprise aussi hardie.
Dominique, fils du fameux Arlequin de l’ancienne troupe, a trouvé ce sujet théâtral, et l’a mis sur la scène italienne le 19 janvier 1723, sous le titre de la Folle raisonnable. Sa pièce a beaucoup de conformité avec «Les Folies Amoureuses».
Mme Argante se laisse éblouir par les richesses de M. Bassemine, et lui promet sa fllle Silvia, déjà promise à Léandre. Pour rompre ce projet, Silvia feint de devenir folle : elle dit qu’Apollon l’attend sur le Parnasse, qu’elle y doit souper avec lui ; ensuite elle se travestit en homme, et, sous l’habit d’un garçon, elle insulte Bassemine, et veut lui faire mettre l’épée à la main. Elle change bientôt de travestissement : on la voit paraître en pèlerine, et, sous prétexte d’aller en pèlerinage, elle fait ses adieux à la compagnie. Bassemine, que toutes ces extravagances intriguent et rebutent, retire sa parole et s’en va. Léandre alors se présente, il demande la main de Silvia, et l’obtient.
Tel est l’extrait de cette comédie peu connue, et qui n’est, comme on le voit, qu’une copie maladroite des «Folies Amoureuses». Si les deux poètes ont puisé dans la même source, il faut convenir que c’est avec un succès bien différent.
On rapporte, dans les «Anecdotes dramatiques», qu’a une reprise des «Folies Amoureuses», Melle Le Couvreur voulut jouer dans cette pièce le rôle d’Agathe ; mais comme elle ne savait pas jouer de la guitare, un nommé Chabrun, fameux maêtre de guitare, était dans le trou du souflleur, et accompagnait l’air italien, pendant que Melle Le Couvreur touchait à vide. Malgré ces précautions, on ne put faire illusion au public, et cela donna un petit ridicule a Melle Le Couvreur.»
Dans "Oeuvres de Jean François REGNARD suivies des oeuvres choisies de N. DESTOUCHES" à Paris Chez Auguste Desrez, Editeur, rue Saint Georges, 11. 1837.
PRESONNAGES du PROLOGUE §
- MONSIEUR DANCOUR.
- MADEMOISELLE BEAUVAL.
- MADEMOISELLE DESBROSSES.
- MOMUS.
- MONSIEUR DUBOCAGE.
PRESONNAGES de la COMÉDIE §
- ALBERT, jaloux, et tuteur d’Agathe.
- ÉRASTE, amant d’Agathe.
- AGATHE, amante d’Éraste.
- LISETTE, servante de M. Albert.
- CRISPIN, valet d’Éraste.
PROLOGUE §
SCÈNE I. §
Mademoiselle BEAUVAL, à ses camarades qui sont dans la coulisse.
SCENE II. Monsieur Dancour, Mademoiselle Beauval. §
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
SCÈNE III. Monsieur Dancour, Mademoiselle Beauval, Mademoiselle Desbrosses. §
Mademoiselle DESBROSSES.
Mademoiselle BEAUVAL.
Mademoiselle DESBROSSES.
Mademoiselle BEAUVAL.
Mademoiselle DESBROSSES.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Mademoiselle DESBROSSES.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Mademoiselle DESBROSSES.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
Mademoiselle DESBROSSES.
Mademoiselle BEAUVAL.
SCÈNE IV. Monsieur Dancour, Mademoiselle Beauval, Mademoiselle Desbrosses, Monsieur Dubocage. §
Monsieur DUBOCAGE.
Mademoiselle BEAUVAL.
Monsieur DUBOCAGE.
SCÈNE V. Momus, Monsieur Dancour, Mademoiselle Beauval, Mademoiselle Desbrosses, MonsieurDubocage. §
MOMUS.
Mademoiselle BEAUVAL.
MOMUS.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle BEAUVAL.
MOMUS.
Mademoiselle BEAUVAL.
Mademoiselle DESBROSSES.
MOMUS.
Mademoiselle BEAUVAL.
MOMUS.
Mademoiselle BEAUVAL.
MOMUS.
Mademoiselle BEAUVAL.
MOMUS.
Monsieur DUBOCAGE.
MOMUS.
Mademoiselle BEAUVAL.
MOMUS.
Mademoiselle BEAUVAL.
Mademoiselle DESBROSSES.
MOMUS.
Monsieur DANCOUR.
Mademoiselle DESBROSSES.
Mademoiselle BEAUVAL.
SCÈNE VI. §
MOMUS, au parterre.
ACTE I §
SCÈNE I. Agathe, Lisette. §
LISETTE.
LISETTE.
AGATHE.
LISETTE.
AGATHE.
LISETTE.
AGATHE.
LISETTE.
AGATHE.
LISETTE.
AGATHE.
LISETTE.
AGATHE.
LISETTE.
6SCÈNE II. Albert, Agathe, Lisette. §
ALBERT, à part.
LISETTE, bas.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
AGATHE.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE, à part.
ALBERT, à Lisette.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE, à Albert.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
7LISETTE.
ALBERT.
AGATHE, le retenant.
ALBERT, à Agathe.
LISETTE, feignant de pleurer.
ALBERT.
LISETTE, riant.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
SCÈNE III. Albert, Lisette. §
ALBERT, à part.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
SCÈNE IV. §
ALBERT, seul.
SCÈNE V. Albert, Crispin. §
CRISPIN, à part.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN, à part.
ALBERT.
CRISPIN.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN, à part.
ALBERT.
SCÈNE VI. §
CRISPIN, seul.
SCÈNE VII. Éraste, Crispin. §
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
SCÈNE VIII. §
CRISPIN, seul.
ACTE II §
SCÈNE I. §
ALBERT, seul.
SCÈNE II. Agathe, Lisette, Albert. §
ALBERT.
LISETTE, à Albert.
ALBERT.
AGATHE, à Albert.
ALBERT, à Agathe.
AGATHE.
LISETTE.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
AGATHE.
LISETTE, à Albert.
ALBERT, à Agathe.
LISETTE.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
SCENE III. Éraste, Albert, Agathe, Lisette, Crispin. §
ALBERT, à part.
LISETTE, bas, à Agathe.
AGATHE, bas.
ALBERT.
ÉRASTE.
ALBERT.
AGATHE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
ALBERT.
ÉRASTE.
ALBERT.
ÉRASTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
ÉRASTE.
AGATHE.
ALBERT.
SCÈNE IV. Albert, Lisette, éraste, Crispin. §
ALBERT, à Lisette.
LISETTE.
ALBERT, lui mettant la main sur la bouche, et la faisant rentrer.
SCÈNE V. Albert, Éraste, Crispin. §
ALBERT, bas.
ÉRASTE.
ALBERT.
ÉRASTE.
ALBERT.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ALBERT.
ÉRASTE.
ALBERT.
ÉRASTE.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT, l’arrêtant.
SCÈNE VI. Lisette, Éraste, Albert, Crispin. §
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
ÉRASTE.
LISETTE.
ALBERT.
ÉRASTE.
ALBERT.
LISETTE.
ÉRASTE.
ALBERT.
LISETTE.
ALBERT.
LISETTE.
SCÈNE VII. Agathe, Albert, Éraste, Lisette, Crispin. §
LISETTE.
AGATHE, en habit de scaramouche, avec une guitare, faisant le musicien, chante :
ÉRASTE, bas, à Crispin.
CRISPIN, bas.
AGATHE chante.
ALBERT.
LISETTE.
CRISPIN.
ALBERT.
AGATHE.
CRISPIN, à éraste.
ÉRASTE, bas, à Crispin.
AGATHE.
CRISPIN.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
ÉRASTE, ouvrant son papier, à part.
CRISPIN, bas, à éraste.
AGATHE.
ALBERT.
AGATHE.
CRISPIN, à Agathe.
AGATHE.
LISETTE, à Crispin.
CRISPIN.
AGATHE.
CRISPIN.
AGATHE, bas, à Crispin.
ÉRASTE, à Agathe.
AGATHE, bas, à Crispin.
SCÈNE VIII. Albert, Lisette, éraste, Crispin. §
ALBERT.
SCENE IX. Lisette, éraste, Crispin. §
LISETTE.
SCÈNE X. Éraste, Crispin. §
ÉRASTE, ouvrant la lettre.
"Vous serez surpris du parti que je prends ; mais l’esclavage où je me trouve devenant plus dur chaque jour, j’ai cru qu’il m’était permis de tout entreprendre. Vous, de votre côté, essayez tout pour me délivrer de la tyrannie d’un homme que je hais autant que je vous aime. "
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
SCÈNE XI. Albert, Éraste, Crispin. §
ALBERT, à Éraste.
ÉRASTE.
ALBERT.
ÉRASTE.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT, à Crispin.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
SCÈNE XII. Éraste, Crispin. §
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE, montrant sa lettre.
SCÈNE XIII. §
CRISPIN, seul.
ACTE III §
SCÈNE I. §
ÉRASTE, seul.
SCÈNE II. Albert, Éraste. §
ALBERT, à part.
ÉRASTE.
ALBERT.
ÉRASTE.
ALBERT.
SCÈNE III. Lisette, Éraste, Albert. §
LISETTE.
SCÈNE IV. Agathe en vieille, Lisette, Éraste, Crispin. §
AGATHE.
ÉRASTE.
AGATHE.
LISETTE.
AGATHE.
LISETTE.
AGATHE.
27ÉRASTE, bas, à Albert.
ALBERT, bas, à éraste.
AGATHE.
LISETTE.
AGATHE.
ALBERT, à part.
LISETTE, à part.
AGATHE, à Albert.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT.
AGATHE.
ALBERT, bas, à Éraste.
ÉRASTE, bas, à Albert.
LISETTE, bas, à Albert.
ALBERT, bas.
LISETTE, bas.
ALBERT, bas.
AGATHE, prenant la bourse.
LISETTE.
ÉRASTE.
AGATHE.
SCÈNE V. Lisette, Éraste, Albert. §
LISETTE, bas, à éraste, lui remettant la bourse.
ÉRASTE, bas, à Lisette.
ALBERT, à Lisette qui sort.
LISETTE.
SCÈNE VI. Albert, Éraste. §
ALBERT.
ÉRASTE.
SCÈNE VII. Albert, Éraste, Crispin. §
ALBERT, à Crispin.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
ALBERT, l’arrêtant.
SCÈNE VIII. Éraste, Crispin. §
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
CRISPIN.
ÉRASTE.
SCÈNE IX. Lisette, Éraste, Albert, Crispin. §
CRISPIN, à part.
ALBERT.
SCÈNE X. Albert, Éraste, Agathe, Lisette, Crispin. §
AGATHE, en justaucorps, avec un bonnet de dragon.
ALBERT.
AGATHE.
ÉRASTE.
AGATHE.
CRISPIN, à Albert.
ÉRASTE, à Albert.
AGATHE.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
LISETTE.
CRISPIN.
ALBERT.
LISETTE.
ÉRASTE, à Crispin.
CRISPIN.
ÉRASTE, à Albert.
CRISPIN.
ALBERT.
CRISPIN.
AGATHE, se levant de son fauteuil.
ÉRASTE, se levant.
AGATHE.
ÉRASTE.
CRISPIN, se mettant au-devant d’Éraste, à Albert.
ÉRASTE.
CRISPIN, retenant Éraste.
ÉRASTE.
CRISPIN, de même.
ALBERT, tirant sa clef.
LISETTE.
CRISPIN, de même.
LISETTE, poussant Albert.
ALBERT, sortant.
SCENE XI. Éraste, Agathe, Lisette, Crispin. §
ÉRASTE.
AGATHE.
LISETTE.
SCÈNE XII. §
ALBERT, seul, tenant une fiole.