M. DCC. XXXVI. AVEC PRIVILÈGE DU ROI
de M. DE VOLTAIRE.
APPROBATION §
J’ai lu par ordre de Monseigneur le Garde des Sceaux La Tragédie d’Alzire. À Paris, ce 28 Mars 1736.
LA SERRE
PRIVILÈGE DU ROI. §
LOUIS PAR LA GRÂCE DE DIEU, Roi de FRANCE et de NAVARRE , à nos amés féaux Conseillers , les Gens tenants nos Cours de Parlement, Maîtres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand-Conseil, Prévôt de Paris, Baillifs, Sénéchaux, leur Lieutenants Civils, et autres nos Justiciers qu’il appartiendra. SALUT : Notre bien amé JEAN-BAPTISTE BAUCHE, Libraire à Paris, nous ayant fait remontrer qu’il lui avait été mis en main un ouvrage, qui a pour titre, Alzire, ou les Américains, Tragédie, par le Sieur de Voltaire ; qu’il souhaiterait faire imprimer et donner au Public. S’il nous plaisait lui accorder nos lettres de Privilège sur ce nécessaires ; offrant pour cet effet de le faire imprimer en bon papier et beaux caractères, suivant la feuille imprimée et attachée pour modèl sous le contrescel des Présentes. À ces causes, voulant traiter favorablement ledit Exposant ; nous lui avons permis et permettons par ces Présentes, de faire imprimer ledit Ouvrage ci-dessus spécifié, conjointement ou séparément, et autant de fois que bon lui semblera sur papier et caractères conforme à ladite feuille imprimée et attachée fous notredit Contrescel ; et de le vendre, faire vendre et débiter partout notre Royaume pendant le temps de six années consécutives, à compter du jour de la date desdites présentes. Faisons défenses à toutes sortes de personnes de quelque qualité et condition qu’elles soient d’en introduire d’impression étrangère dans aucun lieu de notre obéissance ; comme aussi à tous Libraires, Imprimeurs et autres d’imprimer, faire imprimer, vendre, faire vendre, débiter ni contrefaire ledit Ouvrage ci-dessus spécifié, en tout et en partie ; ni d’en faire aucun extrait sous quelques prétextes que ce soit, d’augmentation, correction, changement de titre ; même en feuilles séparées ou autrement sans la permission expresse et par écrit dudit exposant, ou de ceux qui auront droit de lui ; à peine de confiscation des exemplaires contrefaits, et de six mille livres d’amende contre chacun des contrevenants ; dont un tiers à Nous, un tiers à l’Hôtel-Dieu de Paris , l’autre tiers audit Exposant, et de tous dépens dommages et intérêts : à la charge que les Présentes seront enregistrées tout au long sur le Registre de la Communauté des Libraires et Imprimeurs de Paris, dans trois mois de la date d’icelles ; que l’impression de cet Ouvrage fera faite dans notre Royaume et non ailleurs ; et que l’impétrant se conformera en tout aux réglements de la Librairie, et notamment à celui du dix Avril mil sept cent vingt-cinq, et qu’avant de l’exposer en vente le Manuscrit ou imprimé qui aura servi de copie à l’impression dudit Livre sera remis dans le même état où l’Approbation y aura été donnée, ès mains de nôtre très cher et féal Chevalier, Garde des Sceaux de France, le Sieur Chauvelin ; et qu’il en sera ensuite remis deux exemplaires dans notre Bibliothèque publique, un dans celle de notre Château du Louvre, et un dans celle de notre très cher et féal Chevalier, Garde des Sceaux de France, le Sieur Chauvelin. Le tout à peine de nullité des Présentes ; du contenu desquelles vous mandons et enjoignons ce faire jouir l’exposant ou ses ayants cause pleinement et paisiblement, sans souffrit qu’il leur soit fait aucun trouble ou empêchement. Voulons que la copie desd[ites] Présentes qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin dudit Livre, soit tenue pour dûment signifiée, et qu’aux copies collationnées par l’un de nos amés et féaux Conseillers et Secrétaires ; foi soit ajoutée comme à l’original. Commandons au premier notre Huissier ou Sergent, de faire pour l’exécution d’icelles tous actes requis et nécessaires, sans demander et autre permission, et nonobstant clameur de Haro et Chartre Normande, et Lettres à ce contraire. CAR TEL EST NOTRE PLAISIR. Donné à Paris le vingtième jour du mois d’Avril, l’an de grâce mil-sept cent trente-six, et de notre Règne le vingt-unième.
PAR LE ROI EN SON CONSEIL.
Signé, SAINSON.
Registré fur le Registre IX. de la Chambre Royale et Syndicale des Libraires et Imprimeurs de Paris, N°274. fol. 250 conformément aux anciens Réglements, confirmés par celui du 18 Février 1723. À Paris le 20 Avril 1736. G. MARTIN Syndic.
DISCOURS PRÉLIMINAIRE §
On a tâché dans cette tragédie, toute d’invention et d’une espèce assez neuve, de faire voir combien le véritable esprit de religion l’emporte sur les vertus de la nature.
La religion d’un barbare consiste à offrir à ses Dieux le sang de ses ennemis. Un Chrétien mal instruit n’est souvent guère plus juste. Être fidèle à quelques pratiques inutiles et infidèle aux vrais devoirs de l’homme, faire certaines prières et garder ses vices ; jeûner mais haïr, cabaler, persécuter, voilà sa Religion. Celle du chrétien véritable est de regarder tous les hommes comme des frères, de leur faire du bien, et de leur pardonner le mal.
Tel est Gusman au moment de sa mort, tel est Alvares dans le cours de sa vie ; tel j’ai peint Henri IV même au milieu de ses faiblesses.
On retrouvera dans presque tous mes écrits cette humanité qui doit être le premier caractère d’un être pensant, on y verra (si j’ose m’exprimer ainsi) le désir du bonheur des hommes, l’horreur de l’injustice et de l’oppression ; et c’est cela seul qui a jusqu’ici tiré mes ouvrages de l’obscurité où leurs défauts devaient les ensevelir.
Voilà pourquoi la Henriade s’est soutenue malgré les efforts de quelques Français jaloux qui ne veulent pas absolument que la France ait un poème épique. Il y a toujours un petit nombre de lecteurs, qui ne laissent point empoisonner leur jugement d venin des cabales et des intrigues, qui n’aiment que le vrai, qui cherchent toujours l’homme dans l’auteur. Voilà ceux devant qui j’ai trouvé grâce. C’est à ce petit nombre d’hommes que j’adresse les réflexions suivantes ; j’espère qu’ils les pardonneront à la nécessité où je suis de les faire.
Un étranger s’étonnait un jour à Paris d’une foule de libelles de toute espèce, et d’un déchaînement cruel, par lequel un homme était opprimé. Il faut apparemment, dit-il, que cet homme soit d’une grande ambition, et qu’il cherche à s’élever à quelqu’un de ces postes qui irritent la cupidité humaine et l’envie. Non, lui répondit-on ; c’est un citoyen obscur, retiré, qui vit plus avec Virgile et Locke, qu’avec ses compatriotes et dont le figure n’est pas plus connue de quelques uns de ses ennemis, que du graveur qui a prétendu graver son portrait. C’est l’auteur de quelques pièces qui vous ont fait verser des larmes, de quelques ouvrages dans lesquels, malgré leurs défauts, vous aimez cet esprit d’humanité, de justice, de liberté qui y règne. CCeux qui la calomnient, ce sont des hommes pour le plupart plus obscurs que lui, qui prétendent lui disputer un peu de fumée, et qui le persécuteront jusqu’à sa mort, uniquement à cause du plaisir qu’il vous a donné.
Cet étranger se sentit quelque indignation pour les persécuteurs, et quelque bienveillance pour le persécuté.
Il est dur, il faut l’avouer; de ne point obtenir de ses contemporains et de ses compatriotes, ce que l’on peut espérer des étrangers et de la postérité. Il est bine cruel, bine honteux pour l’esprit humain, que la littérature soit infectée de ces haines personnelles, de ces cabales, de ces intrigues qui devraient être le partage des esclaves de la fortune. Que gagnent les auteurs en se déchirant mutuellement ? Ils avilissent une profession qu’il ne tient qu’à eux de rendre respectable. Faut-il que l’art de penser, le plus beau partage des hommes, devienne une source de ridicule ; et que les gens d’esprit rendus souvent par leurs querelles le jouets de sots, soient les bouffons d’un public dont ils devraient être les maîtres.
Virgile, Varius, Pollion, Horace, Tibulle, étaient amis ; les monuments de leur amitié subsistent, et apprendront à jamais aux hommes que les esprits supérieurs doivent être unis. Si nous n’atteignons pas l’excellence de leur génie, ne pouvons nous pas au moins avoir leur vertus ? Ces hommes sur qui l’univers avait les yeux, qui avaient à se disputer l’admiration de l’Asie, de l’Afrique, de l’Europe, s’aimaient pourtant et vivaient en frères : et nous qui sommes renfermés sur un si petit théâtre, nous dont les noms à peine connus dans un coin du monde, passeront bientôt comme nos modes, nous nous acharnons les uns contre les autres pour un éclair de réputation, qui hors de notre petit horizon, ne frappe les yeux de personne. Nous sommes dans un temps de disette , nous avons peu, nous nous l’arrachons. Virgile et Horace ne se disputaient rien parce qu’ils étaient dans l’abondance.
On a imprimé un livre, de morbis Artificum : de la maladie des Artistes. La plus incurable est cette jalousie et cette bassesse. Mais ce qu’il y a de déshonorant c’est que l’intérêt a souvent plus de part encore que l’envie à toutes ces petites brochures satiriques, dont nous sommes inondés. On demandait il n’y a pas longtemps à un homme qui avait fait je ne sais quelle mauvaise brochure, contre son ami et son bienfaiteur, pourquoi il s’était emporté à un excès d’ingratitude. Il répondit froidement : Il faut que je vive.
De quelque source que partent ces outrages, il est sûr qu’un homme qui n’est attaqué que dans ses écrits ne doit jamais répondre aux critiques ; car si elles sont bonne, il n’a autre chose à faire qu’à se corriger ; et si elles sont mauvaises, elles meurent en naissant. Souvenons nous de la fable de Bocalini. "Un voyageur, dit-il, était importuné dans son chemin du bruit des cigales, il s’arrêta pour les tuer ; il n’en vint pas au bout, et ne fit que s’écarter de son chemin. Il n’avait qu’à continuer paisiblement son voyage ; les cigales seraient mortes d’elles-mêmes au bout de huit jours."
Il faut toujours que l’auteur s’oublie ; mais l’homme ne doit jamais s’oublier, se ipsum deserere turpissimum est. On sait que ceux qui n’ont pas assez d’esprit pour attaquer nos ouvrages, calomnient nos personnes : quelques honteux qu’il soit de leur répondre, il le ferait quelquefois davantage de na leur répondre pas.
Il y a de ces calomnies répétée dans vingt libelles au sujet de la belle édition Anglaise de la Henriade. Il ne s’agit là que d’un vil intérêt ; ma conduite prouve assez combien je suis au-dessus de ces bassesses. Je ne fouillerai point cet écrit d’un détail si avilissant : on trouvera chez Bauche Libraire, une réponse satisfaisante. Mais il y a d’autres accusations que l’honneur oblige à repousser.
On m’a traité dans ces libelles, d’homme sans religion ; et une des plus belles preuves qu’on a porté c’est que dans OEdipe, Jocaste dit ces vers :
Ceux qui m’on fait ce reproche, sont aussi raisonnables pour e moins que ceux qui ont imprimé la Henriade dans plusieurs endroits "sentait bien son Semipelagien".
On renouvelle souvent cette accusation cruelle d’irreligion, parce que c’est le dernier refuge des calomniateurs. Comment leur répondre ? Comment s’n consoler, sinon en se souvenant de la foule de ces grands hommes, qui depuis Socrate jusqu’à Descartes ont essuyé ces calomnies atroces ? Je ne ferai ici qu’une seule question : je me demande qui a le plus de religion, ou le calomniateur qui persécute, ou le calomnié qui pardonne.
Ces même libelles me traitent d’homme envieux de la réputation d’autrui ; je ne connais l’envie que par le mal qu’elle m’a voulu faire. J’ai défendu à mon esprit d’être satirique, et s’il est impossible à mon coeur d’être envieux.
J’en appelle à l’auteur de Radhamiste et d’Electre, dont les ouvrages m’ont inspiré les premiers le désir d’entrer quelque temps dans la même carrière ; ses succès ne m’ont jamais coûté d’autres larmes que celles que l’attendrissement m’arrachait aux représentations de ses pièces, il fait qu’il n’a fait naître en moi que de l’émulation et de l’amitié.
L’auter ingénieu et digne de beaucoup de considération qui vient de travailler sur un sujet à peu près semblable à ma tragédie, et qui s’est exercé à peindre ce contraste des moeurs de l’Europe et de celles du nouveau Monde, matière si favorable à la poésie, enrichira peut-être le théâtre de a pièce nouvelle. Il verra si je ferai le dernier à lui applaudir ; et si un indigne amour propre ferme mes yeux aux beautés d’un ouvrage.
J’ose dire avec confiance que je suis plus attaché aux beaux Arts qu’à mes écrits : sensible à l’excès dès mon enfance pour tout ce qui porte le caractère de génie, je regarde un grand poète, un bon musicien, un bon peintre, un sculpteur habile (s’il a de la probité) comme un homme que je dois chérir, comme un frère qui les Arts m’ont donne ; les jeunes gens qui voudront s’appliquer aux Lettres, trouveront en moi un ami, plusieurs y ont trouvé un père. Voilà mes sentiments ; quiconque a vécu avec moi sait bine que je n’en ai point d’autres.
Je me suis ru obligé de parler ainsi au public sur moi-même une fois en ma vie. À l’égard de ma tragédie, je n’en dirai rien. Réfuter les critiques est un vain amour propre ; confondre la calomnie est un devoir.
PERSONNAGES §
- DON GUSMAN, gouverneur du Pérou.
- DON ALVARES, père de Gusman, ancien gouverneur.
- ZAMORE, souverain d’une partie de Potoze.
- MONTEZE, souverain d’une autre partie.
- ALZIRE, fille de Monteze.
- EMIRE, suivante d’Alzire.
- CÉPHALE, suivante d’Alzire.
- OFFICIERS ESPAGNOLS.
- AMÉRICAINS.
ACTE I §
SCÈNE I. Alvares, Don Gusman. §
DON ALVARES.
DON GUSMAN.
DON ALVARES.
DON GUSMAN.
DON ALVARES.
DON GUSMAN.
ALVARÈS.
DON GUSMAN.
ALVARÈS.
SCÈNE II. Alvarès, Monteze. §
ALVARÈS.
MONTEZE.
ALVARÈS.
SCÈNE III. §
MONTEZE, seul.
SCÈNE IV. Monteze, Alzire. §
MONTEZE.
ALZIRE.
MONTEZE.
ALZIRE.
MONTEZE.
ALZIRE.
MONTEZE.
ALZIRE.
MONTEZE.
ALZIRE.
SCÈNE V. Don Gusman, Alzire. §
DON GUSMAN.
ALZIRE.
DON GUSMAN.
ALZIRE.
SCÈNE VI. §
DON GUSMAN, seul..
ACTE II §
SCÈNE I. Zamore, Américains. §
ZAMORE.
Un Américain.
ZAMORE.
SCÈNE II. Alvarès, Zamore, Américains. §
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS.
SCÈNE III. Zamore, américains. §
ZAMORE.
SCÈNE IV. Monteze, Zamore, Américains. §
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
SCÈNE V. Monteze, Zamore. §
Un Garde à Monteze .
MONTEZE.
ZAMORE.
MONTEZE.
ZAMORE.
MONTEZE.
SCÈNE VI. Zamore, Américains. §
ZAMORE.
Un Américain.
ZAMORE.
ACTE III §
SCÈNE I. §
ALZIRE, seule..
SCÈNE II. Alzire, Emire. §
ALZIRE.
EMIRE.
ALZIRE.
SCÈNE III. Alzire, Emire, Cephane. §
CEPHANE.
ALZIRE.
CEPHANE.
EMIRE.
CEPHANE.
ALZIRE.
SCÈNE IV. Alzire, Zamore, Emire. §
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
SCÈNE V. Alvarès, Gusman, Zamore, Alzire, suite. §
ALVARÈS, à son fils..
ZAMORE.
ALZIRE.
ALVARÈS.
ZAMORE.
DON GUSMAN, à Zamore.
ZAMORE.
DON GUSMAN.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS, à Gusman.
DON GUSMAN.
ALZIRE, À Gusman.
DON GUSMAN.
ALZIRE.
ALVARÈS.
SCÈNE VI. Alvarès, Gusman, Alzire, Don Alonze, un Officier espagnol. §
ALONZE.
DON GUSMAN.
ZAMORE.
DON GUSMAN.
ZAMORE.
DON GUSMAN.
ALZIRE.
ALVARÈS.
DON GUSMAN.
SCÈNE VII. Alvarès, Alzire §
ALZIRE, se jetant à genoux.
ALVARÈS.
ALZIRE.
ACTE IV §
SCÈNE I. Alvarès, Gusman. §
ALVARÈS.
DON GUSMAN.
ALVARÈS.
DON GUSMAN.
ALVARÈS.
DON GUSMAN.
ALVARÈS.
DON GUSMAN.
ALVARÈS.
DON GUSMAN.
ALVARÈS.
DON GUSMAN, seul..
SCÈNE II. Gusman, Alzire, Emire. §
ALZIRE.
DON GUSMAN.
SCÈNE III. Alzire, Emire. §
EMIRE.
ALZIRE.
EMIRE.
ALZIRE.
EMIRE.
ALZIRE.
EMIRE.
ALZIRE.
EMIRE.
ALZIRE.
SCÈNE IV. Alzire, Zamore, Emire. §
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
SCÈNE V. Alzire, Emire. §
ALZIRE.
SCÈNE VI. Alzire, Emire. §
ALZIRE.
EMIRE.
ALZIRE.
EMIRE.
ALZIRE.
SCÈNE VII. Alzire, Emire, Don Alonze, gardes. §
Don ALONZE.
ALZIRE.
Don ALONZE.
ALZIRE.
ACTE V §
SCÈNE I. Alzire, Gardes. §
ALZIRE.
SCÈNE II. Monteze, Alzire. §
ALZIRE.
MONTEZE.
ALZIRE.
MONTEZE.
ALZIRE.
MONTEZE.
SCÈNE III. §
ALZIRE, seule..
SCÈNE IV. Zamore enchaîné , Alzire, Gardes. §
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALZIRE.
SCÈNE V. Alzire, Zamore, Alvarès, Gardes. §
ZAMORE.
ALZIRE.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALVARÈS.
ZAMORE, à Alzire.
ALVARÈS.
ZAMORE.
ALZIRE.
ZAMORE.
ALVARÈS.
SCÈNE VI. Alvarès, Zamore, Alzire, Alonze, américains, Espagnols. §
ALONZE.
SCÈNE VII. Alvarès, Gusman, Zamore, Alzire, Monteze, Américains, soldats. §
ZAMORE.
ALZIRE.
ALVARÈS.
ZAMORE, à Gusman.
DON GUSMAN, à Zamore.
ALVARÈS.
ALZIRE.
ZAMORE.
DON GUSMAN.
ZAMORE.
ALZIRE.
DON GUSMAN.
ALVARÈS, à Monteze.