1738
Voltaire
PRÉFACE de l’édition de 1738. §
Il est assez étrange que l’on n’ait pas songé plus tôt à imprimer cette comédie, qui fut jouée il y après de deux ans, et qui eut environ trente représentations. L’auteur ne s’étant point déclaré on l’a mise jusqu’ici sur le compte de diverses personnes très estimées ; mais elle est véritablement de M. De Voltaire, quoique le style de la Henriade et d’Alzire soit si différent de celui-ci qu’il ne permet guère d’y reconnaître la même main. C’est ce qui fait que nous donnons sous son nom cette pièce au public, comme la première comédie qui soit écrite en vers de cinq pieds. Peut-être cette nouveauté engagera-t-elle quelqu’un à se servir de cette mesure. Elle produira sur le théâtre français de la variété ; et qui donne des plaisirs nouveaux doit toujours être bien reçu.
Si la comédie doit être la représentation des moeurs, cette pièce semble être assez de ce caractère. On y voit un mélange de sérieux et de plaisanterie, de comique et de touchant. C’est ainsi que la vie des hommes est bigarrée ; souvent même une seule aventure produit tous ces contrastes. Rien n’est si commun qu’une maison dans laquelle un père gronde, une fille occupée de sa passion pleure, le fils se moque des deux, et quelques parents prennent différemment part à la scène. On raille très souvent dans une chambre de ce qui attendrit dans la chambre voisine, et la même personne a quelquefois ri et pleuré de la même chose dans le même quart d’heure.
Une dame très respectable, étant un jour au chevet d’une de ses filles qui était en danger de mort, entourée de toute sa famille, s’écriait en fondant en larmes : « Mon Dieu, rendez-la-moi, et prenez tous mes autres enfants ! » Un homme qui avait épousé une autre de ses filles s’approcha d’elle, et, la tirant par la manche : « Madame, dit-il, les gendres en sont-ils ? » Le sang-froid et le comique avec lequel il prononça ces paroles fit un tel effet sur cette dame affligée qu’elle sortit en éclatant de rire ; tout le monde la suivit en riant ; et la malade, ayant su de quoi il était question, se mit à rire plus fort que les autres.
Nous n’inférons pas de là que toute comédie doive avoir des scènes de bouffonnerie et des scènes attendrissantes. Il y a beaucoup de très bonnes pièces où il ne règne que de la gaieté ; d’autres toutes sérieuses, d’autres mélangées, d’autres où l’attendrissement va jusqu’aux larmes. Il ne faut donner l’exclusion à aucun genre, et si l’on me demandait quel genre est le meilleur, je répondrais : « Celui qui est le mieux traité. »
Il serait peut-être à propos et conforme au goût de ce siècle raisonneur d’examiner ici quelle est cette sorte de plaisanterie qui nous fait rire à la comédie.
La cause du rire est une de ces choses plus senties que connues. L’admirable Molière, Regnard, qui le vaut quelquefois, et les auteurs de tant de jolies petites pièces, se sont contentés d’exciter en nous ce plaisir, sans nous en rendre jamais raison, et sans dire leur secret.
J’ai cru remarquer aux spectacles qu’il ne s’élève presque jamais de ces éclats de rire universels qu’à l’occasion d’une méprise. Mercure pris pour Sosie ; le chevalier Ménechme pris pour son frère ; Crispin faisant son testament sous le nom du bonhomme Géronte ; Valère parlant à Harpagon des beaux yeux de sa fille, tandis qu’Harpagon n’entend que les beaux yeux de sa cassette ; Pourceaugnac à qui on tâte le pouls, parce qu’on le veut faire passer pour fou ; en un mot, les méprises, les équivoques de pareille espèce, excitent un rire général. Arlequin ne fait guère rire que quand il se méprend ; et voilà pourquoi le litre de balourd lui était si bien approprié.
Il y a bien d’autres genres de comique. Il y a des plaisanteries qui causent une autre sorte de plaisir ; mais je n’ai jamais vu ce qui s’appelle rire de tout son coeur, soit aux spectacles, soit dans la société, que dans des cas approchants de ceux dont je viens de parler.
Il y a des caractères ridicules dont la représentation plaît, sans causer ce rire immodéré de joie. Trissotin et Vadius, par exemple, semblent être de ce genre ; le Joueur, le Grondeur, qui font un plaisir inexprimable, ne permettent guère le rire éclatant.
Il y a d’autres ridicules mêlés de vices, dont on est charmé de voir la peinture, et qui ne causent qu’un plaisir sérieux. Un malhonnête homme ne fera jamais rire, parce que dans le rire il entre toujours de la gaieté, incompatible avec le mépris et l’indignation. Il est vrai qu’on rit au Tartuffe ; mais ce n’est pas de son hypocrisie, c’est de la méprise du bonhomme qui le croit un saint, et, l’hypocrisie une fois reconnue, on ne rit plus : on sent d’autres impressions. On pourrait aisément remonter aux sources de nos autres sentiments, à ce qui excite la gaieté, la curiosité, l’intérêt, l’émotion, les larmes. Ce serait surtout aux auteurs dramatiques à nous développer tous ces ressorts, puisque ce sont eux qui les font jouer. Mais ils sont plus occupés de remuer les passions que de les examiner ; ils sont persuadés qu’un sentiment vaut mieux qu’une définition, et je suis trop de leur avis pour mettre un traité de philosophie au devant d’une pièce de théâtre.
Je me bornerai simplement à insister encore un peu sur la nécessité où nous sommes d’avoir des choses nouvelles. Si l’on avait toujours mis sur le théâtre tragique la grandeur romaine, à la fin on s’en serait rebuté ; si les héros ne parlaient jamais que de tendresse, on serait affadi.
Les bons ouvrages que nous avons depuis les Corneille, les Molière, les Racine, les Quinault, Les Lulli, les Le Brun, me paraissent tous avoir quelque chose de neuf et d’original qui les a sauvés du naufrage. Encore une fois, tous les genres sont bons, hors le genre ennuyeux.
Ainsi il ne faut jamais dire si cette musique n’a pas réussi, si ce tableau ne plaît pas, si cette pièce est tombée, c’est que cela était d’une espèce nouvelle ; il faut dire : C’est que cela ne vaut rien dans son espèce.
PERSONNAGES §
- EUPHÉMON Père.
- EUPHÉMON Fils.
- FIERENFAT, président de Cognac, second fils d’Euphémon.
- RONDON, Bourgeois de Cognac.
- LISE, fille de Rondon.
- LA BARONNE DE CROUPILLAC..
- MARTHE, suivante de Lise.
- JASMIN, Valet d’Euphémon fils.
ACTE I §
SCÈNE I. Euphémon, Rondon. §
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
SCÈNE II. Euphémon, Rondon, Lise, Marthe. §
RONDON.
LISE.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
SCÈNE III. Lise, Marthe. §
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE s’en allant.
LISE la retanant.
MARTHE s’en allant.
LISE la retanant.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
SCÈNE IV. Lise, Marthe, Le Président Fierenfat. §
FIERENFAT.
MARTHE.
FIERENFAT.
MARTHE à Lise.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
SCÈNE V. Les Précédents, Rondon. §
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
LISE.
RONDON.
FIERENFAT.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
ACTE II §
SCÈNE I. Lise, Marthe. §
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
SCÈNE II. Lise, Marthe, un laquais. §
LE LAQUAIS.
LISE.
LE LAQUAIS.
LISE.
MARTHE.
LISE.
SCÈNE III. Lise, Madame Croupillac, Marthe. §
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC, assise.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
SCÈNE IV. Madame Croupillac, Lise, Rondon. §
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
SCÈNE V. Rondon, Fierenfat, Lise. §
RONDON à Lise.
FIERENFAT.
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
FIERENFAT.
LISE.
RONDON.
FIERENFAT.
LISE.
RONDON.
LISE.
FIERENFAT.
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
SCÈNE VI. Euphémon, Rondon, Lise, Fierenfat. §
RONDON.
EUPHÉMON.
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
LISE.
FIERENFAT.
EUPHÉMON.
RONDON.
LISE.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
EUPHÉMON.
LISE.
FIERENFAT.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON.
EUPHÉMON.
RONDON, à Fierenfat.
LISE.
ACTE III §
SCÈNE I. Euphémon Fils, Jasmin. §
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN, en l’embrassant.
EUPHÉMON FILS, en pleurant.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
SCÈNE II. Madame Croupillac, Euphémon Fils, Jasmin. §
MADAME CROUPILLAC, dans l’enfoncement.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC, s’avançant vers Euphémon fils.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
JASMIN.
MADAME CROUPILLAC.
JASMIN.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC, l’arrêtant.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON FILS, revenant.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils, à part.
MADAME CROUPILLAC.
JASMIN.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON, voyant son fils.
MADAME CROUPILLAC.
JASMIN.
MADAME CROUPILLAC.
SCÈNE III. Euphémon Père, Jasmin. §
EUPHÉMON.
JASMIN.
EUPHÉMON.
JASMIN.
EUPHÉMON.
JASMIN.
EUPHÉMON.
JASMIN.
EUPHÉMON.
SCÈNE IV. §
JASMIN, seul.
SCÈNE V. Euphémon Fils revenant, Jasmin. §
JASMIN, en l’embrassant.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
SCÈNE VI. Euphémon Fils, Fierenfat, Jasmin. §
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
JASMIN.
FIERENFAT.
JASMIN.
FIERENFAT.
JASMIN.
FIERENFAT.
JASMIN.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
JASMIN.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
ACTE IV §
SCÈNE I. Madame Croupillac, Euphémon Fils, Jasmin. §
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
MADAME CROUPILLAC.
JASMIN.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN, en voyant Lise.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
MADAME CROUPILLAC.
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
SCÈNE II. Lise, Marthe ; Jasmin dans l’enfoncement, et Eupéhmon Fils, plus reculé. §
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
JASMIN, tirant Marthe par la robe.
MARTHE, Jasmin.
LISE, à part.
MARTHE, venant à Lise.
LISE.
MARTHE, Jasmin.
LISE.
JASMIN, à Marthe.
MARTHE, revenant.
LISE.
MARTHE.
LISE.
SCÈNE III. Lise, Marthe, Euphémon Fils, s’appuyant sur Jasmin. §
EUPHÉMON Fils.
JASMIN.
EUPHÉMON Fils.
LISE sans le regarder.
EUPHÉMON Fils se jetant à genoux.
LISE.
MARTHE.
EUPHÉMON Fils.
LISE.
EUPHÉMON Fils.
LISE.
EUPHÉMON Fils.
LISE.
EUPHÉMON Fils.
LISE.
EUPHÉMON Fils.
LISE.
EUPHÉMON Fils.
LISE à Marthe.
EUPHÉMON Fils.
LISE.
EUPHÉMON Fils.
LISE.
EUPHÉMON Fils.
LISE.
EUPHÉMON Fils.
MARTHE.
LISE.
EUPHÉMON Fils.
LISE.
MARTHE.
SCÈNE IV. Lise, Euphémon Fils, Marthe, Jasmin ; Fienrenfat, dans le fond, pendant qu’Euphémon lui tourne le dos. §
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils, en colère.
JASMIN, se mettant entre eux.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
LISE, à Euphémon.
FIERENFAT.
MARTHE.
FIERENFAT.
MARTHE.
FIERENFAT.
MARTHE.
FIERENFAT, à Lise.
LISE.
FIERENFAT.
LISE.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
LISE, à Euphémon.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils, en colère, et mettant la main sur la garde de son épée..
LISE.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT, en posture de se battre.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
LISE, à Euphémon.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils.
FIERENFAT.
SCÈNE V. Lise, Euphémon Fils, Marthe. §
LISE.
MARTHE.
LISE.
SCÈNE VI. Rondon, Lise. §
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
SCÈNE VII. Fierenfat, Rondon, Sergents. §
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
FIERENFAT.
RONDON.
ACTE V §
SCÈNE I. Lise, Marthe. §
LISE.
MARTHE.
SCÈNE II. Lise, Marthe, Jasmin. §
LISE.
JASMIN.
LISE.
JASMIN.
LISE.
MARTHE.
JASMIN.
LISE.
MARTHE.
LISE.
MARTHE.
LISE.
JASMIN.
SCÈNE III. Lise, Marthe, Rondon. §
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
SCÈNE IV. Lise, Marthe. §
LISE.
MARTHE.
SCÈNE V. Euphémon Père, Lise. §
LISE.
EUPHÉMON, l’empêchant de sa mettre à genoux.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
EUPHÉMON Père.
LISE.
SCÈNE VI. Euphémon Père, Euphémon Fils, Lise. §
EUPHÉMON Père.
EUPHÉMON Fils, aux pies de son père.
EUPHÉMON Père.
EUPHÉMON Fils.
LISE, se mettant à genoux.
EUPHÉMON Fils, se montrant à Lise.
EUPHÉMON Père, se levant et l’embrassant.
LISE.
SCÈNE VII. Les Précédents, Rondon, Madame Croupillac, Fierenfat, Recors, Suite. §
FIERENFAT.
RONDON.
LISE, à Rondon.
RONDON.
FIERENFAT.
LISE.
EUPHÉMON Père.
FIERENFAT.
LISE.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Père.
MADAME CROUPILLAC.
FIERENFAT.
EUPHÉMON Fils, à Fierenfat.
EUPHÉMON Père.
RONDON.
MADAME CROUPILLAC.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
LISE.
RONDON.
FIERENFAT.
MADAME CROUPILLAC.
RONDON.
EUPHÉMON Père, à Madame Croupillac.