M. DCC. XLIX. AVEC PRIVILÈGE DU ROI.
Voltaire
PRIVILÈGE DU ROI. §
LOUIS, PAR LE GRÊCE DE DIEU, ROI DE FRNACE ET DE NAVARRE, À nos âmes et féaux conseillers les gens tenants nos Cours de Parlement, maîtres de requêtes ordinaires de notre hôtel, Grand-conseil, prévôt de Paris, baillis, sénéchaux, leurs lieutenants civils et autres nos justiciers qu’il appartiendra ; SALUT : Notre amé PIERRE-GILLES LE MERCIER, imprimeur-libraire à Paris, ancien adjoint de la Communauté, Nous a fait exposer qu’il désirerait imprimer et donner au public à Paris, ancien adjoint de sa communauté, Nous a fait exposer qu’il désirerait imprimer et donner au public un ouvrage qui a pour titre : <em>Nanine Comédie</em>, s’il Nous plaisait lui accorder nos lettres de Permission pour ce nécessaires. À CES CAUSES, voulant favorablement traiter l’exposant, Nous lui avons permis et permettons par ces présentes, de faire imprimer le dit ouvrage en un ou plusieurs volumes, et autant de fois que bon lui semblera, et de la vendre, faire vendre et débiter par tout Notre Royaume, pendant le temps de trois années consécutives, à compter du jour de la date desdites présentes seront enregistrées tout au long sur le Registre de la Communauté des Libraires et Imprimeurs de Paris, dans trois mois de la date d’icelles ; que l’impression dudit ouvrage sera faite dans notre Royaume, et non ailleurs, en bon papier et beaux caractères, conformément à la feuille imprimée et attachée pour modèle sous le contre-scel desdites présentes ; que l’impétrant se conformera en tout aux règlements de la librairie, et notamment à celui du 10 avril 1725, qu’avant de l’exposer en vente, la manuscrit aura servi de copie à l’impression dudit ouvrage, sera remis dans le même état où l’approbation y aura été donnée, ès mains de notre très cher et féal Chevalier le Sieur DAGUESSEAU, Chancelier de France, Commandeur de nos ordres, et qu’il en sera ensuite remis deux exemplaires dans notre bibliothèque publique, un dans notre Château du Louvre, et un dans celle de notre très cher et féal Chevalier le sieur DAGUESEAU, Chancelier de FRANCE : le tout à peine de nullité desdites présentes. Du contenu desquelles vous mandons et enjoignons de faire jouir ledit Exposant et des ayants causes, pleinement et paisiblement, sans souffrir qu’il leur soit fait aucun trouble et empêchement. Voulons qu’à la copie des présentes, qui sera imprimée tout au long au commencement ou à la fin dudit ouvrage, foi soit ajoutée comme à l’original : Commandons au premier notre huissier ou sergent sur ce requis, de faire pour l’exécution d’icelles tous actes requis et nécessaires, sans demander autre permission, et nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, et lettres à ce contraires : CAR tel est notre plaisir. DONNÉ à Paris, le quinzième jour du mois de novembre, l’an de grâce mille sept cent quarante-neuf, et de notre règne le trente-cinquième. Par le Roi en son conseil.
Signe, SAINSON.
Registré sur le registre XII de la Chambre Royale des Libraires et Imprimeurs de Paris, n°346 fol 227 conformément aux anciens règlements confirmés par celui du 28 février 1723. À Paris le dix-huit octobre mille sept cent quarante neuf.
Signé, TH. LEGRAS, Syndic.
APPROBATION
J’ai lu par ordre de Monseigneur le Chancelier, un manuscrit qui a pour titre, Nanine ou le préjugé vaincu, comédie. Fait à Paris ce 3 novembre 1749.
JOLLY.
PRÉFACE §
Cette bagatelle fut représentée au mois de juillet 1748. Elle n’a point été destinée pour le théâtre de Paris, encore moins pour l’impression, et on ne la donnerait pas aujourd’hui au public, s’il n’en avait paru une édition subreptrice et toute défigurée sous le nom de la compagnie des libraires associés de Paris. Il y a dans cette édition fautive plus de cent vers qui ne sont pas de l’auteur. C’est avec la même infidélité , et avec plus de fautes encore, que l’on a imprimé clandestinement la tragédie de Sémiramis, et c’est ainsi qu’on a défiguré presque tous les ouvrages de l’auteur. Il est obligé de se servir de cette occasion pour avertir ceux qui cultivent les Lettres, et qui se forment des Cabinets de Livres, que toutes les éditions qu’on a faites de ses prétendus ouvrages, il n’y en a pas une seule qui mérite d’être regardée. Celle de Ledet à Amsterdam, celle de Merkus dans la même ville, les autres qu’on a faites d’après celles-là sont absurdes, et on y a même ajouté un volume entier, qui n’est rempli que de grossièretés insipides faites par la canaille ; celles qui sont intitulées de Londres et de Genève ne sont pas moins défectueuses.
L’Auteur n’a pas eu encore le temps d’examiner celle de Dresde, ainsi il ne peut rien en dire, mais en général les amateurs des Lettres ne doivent avoir aucun égard aux éditions qui ne sont point faites sous ses yeux et pas ses ordres, encore moins à tous ces petits ouvrages qu’on affecte de débiter sous son nom, à ses vers qu’on envoie au Mercure et aux journaux étrangers, et qui ne sont que le ridicule effet d’une réputation bien vaine et bien dangereuse. En attendant qu’il puisse un jour donner ses soins à faire imprimer ses véritables ouvrages, il est dans la nécessité de faire donner au moins par un libraire accrédité et muni d’un privilège la tragédie de Sémiramis, et cette petite pièce qui ont paru toutes deux l’année passée dans la foule des spectacles nouveaux qu’on donne à Paris tous les ans.
Dans cette autre foule beaucoup plus nombreuses dont on est inondé, il en parut une dans ce temps-là qui mérite d’être distinguée. C’est une dissertation ingénieuse et approfondie d’un Académicien de la Rochelle sur cette question qui semble partager depuis quelques années la Littérature ; savoir s’il est permis de faire des comédies attendrissantes. Il paraît se déclarer fortement contre ce genre, dont la petite comédie de Nanine tient beaucoup en quelques endroits. Il condamne avec raison tout ce qui aurait l’air d’une tragédie bourgeoise. En effet, que serait-ce qu’une intrigue tragique entre des hommes du commun ? Ce serait seulement avilir la cothurne ; ce serait manquer à la fois l’objet de la Tragédie et de la Comédie, ce serait une espèce bâtarde, un monstre né de l’impuissance de faire une comédie et une tragédie véritable.
Cet académicien judicieux blâme surtout les intrigues romanesques et forcées, dans ce genre de comédie où l’on veut attendrir les spectateurs, et qu’on appelle par dérision Comédie larmoyante. Mais dans quel genre les intrigues romanesques et forcées peuvent elles être admises ? Ne sont elles pas toujours un vice essentiel dans quelque ouvrage que ce puisse être ? Il conclut enfin en disant que si dans un comédie l’attendrissement peut aller quelquefois jusqu’aux larmes, il n’appartient qu’à la passion de l’amour de les faire répandre. Il n’entend pas sans doute l’amour tel qu’il est représenté dans les bonnes tragédie, l’amour furieux, barbare, funeste, suivi de crimes et de remords. Il entend l’amour naïf et tendre qui seul est du ressort de la comédie.
Cette réflexion en fait naître une autre, qu’on soumet au jugement des gens de Lettres. C’est que dans notre nation la tragédie a commencé par s’approprier la langage de la comédie. Si on y prend garde, l’amour dans beaucoup d’ouvrages dont la terreur et la pitié devraient être l’âme, est traité comme il doit l’être en effet dans le genre comique. La galanterie, les déclarations d’amour, la coquetterie, la naïveté, la familiarité, tout cela ne se trouve que trop chez nos héros et nos héroïnes de Rome et de la Grèce dont nos théâtre retentissent. De sorte qu’en effet l’amour naïf et attendrissant dans une comédie, n’est point un larcin fait à Melpomène, mais c’est au contraire Melpomène qui depuis longtemps a pris chez nous les brodequins de Thalie.
Qu’on jette les yeux sur les première tragédies qui eurent de si prodigieux succès vers le temps du Carfinal de Richelieu ; la Sophonisbe de Mairet, la Mariane, l’Amour tyrannique, Alcionnée. On verra que l’amour y parle toujours sur un ton familier et quelques fois aussi bas , que l’héroïsme s’y exprime avec un emphase ridicule. C’est peut-être la raison pour laquelle notre nation n’eut en ce temps aucune comédie supportable. C’est qu’en effet le théâtre tragique avait envahi tous les droits de l’autre. Il est même vraisemblable que cette raison détermina Molière à donner rarement aux amants qu’il met sur scène, une passion vive et touchante, il sentait que la tragédie l’avait prévenu.
Depuis la Sophonisbe de Mairet qui fut la première pièce dans laquelle on trouva quelque régularité, on avait commencé à regarder les déclarations d’amour des héros, les réponses artificieuses et coquettes des princesses, les peintures galantes de l’amour, comme des choses essentielles au théâtre tragique. Il est resté des écrits de ce temps là dans lesquels on cite avec de grands éloges ces vers que dit Massinissa après la bataille de Cirthe :
Cette habitude de parler ainsi d’amour influa sur les meilleurs esprits ; et ceux même dont le génie mâle et sublime était fait pour rendre en tout à la tragédie son ancienne dignité se laissèrent entraîner à la contagion.
On vit dans les meilleures pièces,
Le héros dit à sa maîtresse :
L’héroïne lui répond :
Cléopâtre dit qu’ne princesse
Que César :
Elle ajoute qu’il ne tient qu’à elle d’avoir des rigueurs et de rendre César malheureux. Sur quoi sa confidente lui répond.
Dans toutes les pièces du même auteur qui suivent le Mort de Pompée, on est obligé d’avouer que l’amour est toujours traité de ce ton familier. Mais sans prendre la peine inutile de rapporter des exemples de ces défauts trop visibles, examinons seulement les meilleurs vers que l’auteur de Cinna ait fait débiter sur le théâtre, comme maximes de galanterie.
De bonne foi croirait-on que ces vers du haut comique fussent dans la bouche d’une princesse des Parthes qui va demande à son amant la tête de sa mère ? Est-ce dans un jour si terrible qu’on parle "d’un je ne sais quoi, dont par le doux rapport des âmes sont assorties" ? Sophocles aurait-il débiter de tels madrigaux ? Et toutes ces petites sentences amoureuses ne sont-elles pas uniquement du ressort de la comédie ?
La grand homme qui a porté un si haut point la véritable éloquence des vers, qui a fait parler à l’amour un langage si touchant à la fois et si noble, a mis cependant dans ses tragédies plus d’une scène que Boileau trouvait plus propre de la haute comédie de Térence que du rival et vainqueur d’Euripide.
On pourrait citer plus de trois cent vers dans ce goût, ce n’est pas que la simplicité qui a ses charmes, la naïveté qui quelquefois même tient du sublime ne soient nécessaires, pour servir ou de préparation, ou de liaison et de passage au pathétique. Mais si ces traits naïfs et simples appartiennent même au tragique, à plus forte raison appartiennent-ils au grand comique, c’est dans ce point où la tragédie s’abaisse et où la comédie s’élève que ces deux arts se rencontrent et se touchent. C’est là seulement que leurs bornes se confondent. et s’il est permis à Oreste et à Hermione de se dire :
Si ces héros, dis-je, se sont exprimés avec cette familiarité, à combien plus forte raison le MLisanthrope est-il bine reçu de dire à sa maîtresse avec véhémence.
Certainement si toute la pièce du Misanthrope était dans ce goût ce ne serait plus une comédie, si Oreste et Hermione s’exprimaient toujours comme on vient de la voir, ce ne serait plus une tragédie. Mais après que ces deux genres si différents se sont ainsi rapprochés, ils rentrent chacun dans leur véritable carrière. L’un reprend le ton plaisant et l’autre le ton sublime.
La comédie encore une fois peut donc se passionner, s’emporter, attendrir pourvu qu’ensuite elle fasse rire les honnêtes gens. Si elle manquait de comique, si elle n’était que larmoyante, c’est alors qu’elle serait un genre très vicieux, et très désagréable.
On avoue qu’il est rare de faire passer les spectateurs insensiblement de l’attendrissement au rire. Mais ce passage, tout difficile qu’il est de la saisir dans une comédie, n’en est pas moins naturel aux hommes. On a déjà remarqué ailleurs que rien n’est plus ordinaire que les aventures qui, et dont certaines circonstances inspirent ensuite une gaieté passagère. C’est ainsi malheureusement que le genre humain est fait. Homère représente même les Dieux riant de la mauvaise grâce de Vulcain dans le temps qu’ils décident du destin du monde.
Hector sourit de la peur de son fils Astyanax, tendis qu’Andromaque répand des larmes, on voir souvent jusques dans l’horreur des batailles, des incendies, de tous les désastres qui nous affligent, qu’une naïveté, un bon mot excitent le rire jusques dans le sein de la désolation et de la pitié. On défendit à un régiment dans la bataille de Spire de faire quartier ; un officier allemand demande la vie à l’un des nôtres, qui lui répond : <em>Monsieur, demandez-moi tout autre chose, mais pour la vie il n’y a pas de moyen</em>. Cette naïveté passe aussitôt de bouche en bouche, et on rit au milieu du carnage. À combien plus forte raison le rire peut-il succéder dans la comédie à des sentiments touchants ? Ne s’attendrit-on pas avec Alcmène ? Ne rit-on pas avec Sosie ? Quel misérable et vain travail de disputer contre l’expérience ! Si ceux qui disputent ainsi, ne se payaient pas de raison et aimaient mieux des vers, ou leur citerait ceux-ci.
PERSONNAGES §
- Le COMTE d’OLBAN, seigneur retiré à la campagne.
- La BARONNE de L’ORME, parente du Comte, femme impérieuse, aigre, difficile à vivre.
- La MARQUISE d’OLBAN, mère du Comte
- NANINE, fille élevée à la maison du Comte.
- PHILIBERT HOMBERT, paysan du voisinage.
- BLAISE, jardinier.
- GERMON, domestique.
- MARIN, autre domestique.
ACTE I §
SCÈNE I. Le Comte D’Olban, La Baronne de L’Orme. §
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE, à part.
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
SCÈNE II. Le Comte, La Baronne, Blaise. §
LE COMTE
BLAISE
LE COMTE
BLAISE
LE COMTE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
LE COMTE
BLAISE
LE COMTE
BLAISE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE, à part.
BLAISE
LE COMTE
BLAISE
LE COMTE
BLAISE
LE COMTE
BLAISE
LE COMTE
BLAISE
LE COMTE
SCÈNE III. La Baronne, Blaise. §
LA BARONNE
BLAISE revenant
LA BARONNE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
SCÈNE IV. §
LA BARONNE
SCÈNE V. La Baronne, Nanine. §
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE, avec un emportement de tendresse.
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
NANINE
LA BARONNE
SCÈNE VI. §
NANINE
SCÈNE VII. Le Comte, Nanine, un laquais. §
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
SCÈNE VIII. Le Comte, Nanine, Germon. §
GERMON
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
SCÈNE IX. Le Comte, Germon. §
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
ACTE II §
SCÈNE I. Le Comte, Marin. §
LE COMTE
MARIN derrière le théâtre.
LE COMTE
MARIN
LE COMTE
MARIN
LE COMTE
MARIN
LE COMTE
MARIN
SCÈNE II. Le Comte, Germon. §
LE COMTE
GERMON, arrivant.
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
SCÈNE III. Le Comte, Nanine. §
LE COMTE
NANINE
LE COMTE, la relevant.
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE, se détournant et se promenant.
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
SCÈNE IV. §
NANINE
SCÈNE V. Nanine, Blaise. §
BLAISE
NANINE, écrivant toujours.
BLAISE
NANINE, écrivant.
BLAISE
NANINE
BLAISE
NANINE
BLAISE
NANINE
BLAISE
NANINE
BLAISE
NANINE
BLAISE
NANINE
BLAISE
NANINE
BLAISE
NANINE
BLAISE
NANINE
BLAISE
NANINE
SCÈNE VI. La Baronne, Blaise. §
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE
LA BARONNE
BLAISE, riant.
LA BARONNE
BLAISE, riant encore.
LA BARONNE
BLAISE, riant encore.
SCÈNE VII. §
LA BARONNE
SCÈNE VIII. Le Comte, La Baronne. §
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
SCÈNE IX. Le Comte, La Baronne, Germon. §
GERMON
LA BARONNE
GERMON
LA BARONNE
GERMON, criant.
LE COMTE
GERMON, haut.
LE COMTE
GERMON
LE COMTE, d’un air froid et sec.
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
SCÈNE X. Le Comte, La Baronne. §
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
SCÈNE XI. La Marquise, Le Comte, La Baronne. §
LE COMTE, à sa mère
LA MARQUISE
LE COMTE
LA MARQUISE
LE COMTE
LA MARQUISE
LA BARONNE, à part.
SCÈNE XII. La Marquise, Le Comte. §
LA MARQUISE, parlant fort vite, et d’un ton de petite vieille babillarde.
LE COMTE, relisant le billet.
SCÈNE XIII. La Marquise, Le Comte, Germon. §
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE, lisant.
LA MARQUISE
LE COMTE, à Germon.
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
LA MARQUISE
GERMON
LA MARQUISE
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
LA MARQUISE
LE COMTE
LA MARQUISE
ACTE III §
SCÈNE I. Nanine, vêtue en paysanne ; Germon. §
GERMON
NANINE
GERMON
NANINE
GERMON
NANINE
GERMON
NANINE
GERMON
NANINE
GERMON
NANINE
GERMON
NANINE
GERMON
NANINE
GERMON
NANINE
GERMON
SCÈNE II. Le Comte, Germon. §
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
1LE COMTE
GERMON
LE COMTE
GERMON
LE COMTE
SCÈNE III. §
LE COMTE
SCÈNE IV. Le Comte, La Baronne, La Marquise. §
LA MARQUISE
LE COMTE
LA MARQUISE
LA BARONNE
LA MARQUISE
LE COMTE
LA MARQUISE
LE COMTE
LA BARONNE
LA MARQUISE
LA BARONNE
LA MARQUISE
LA BARONNE
LA MARQUISE
LE COMTE
LA MARQUISE
SCÈNE V. Le Comte, La Marquise, La Baronne ; Marin, en bottes. §
MARIN
LA MARQUISE
LA BARONNE
MARIN
LA BARONNE
MARIN
LA BARONNE, au Comte.
LE COMTE
MARIN
LA BARONNE
LA MARQUISE, à part.
MARIN
LA BARONNE
LA MARQUISE
MARIN
LE COMTE
SCÈNE VI. Le Comte, La Marquise, La Baronne, Le Paysan. §
LA MARQUISE, au paysan.
LE PAYSAN
LE COMTE
LA MARQUISE
LE PAYSAN
LE COMTE
LA BARONNE
LE PAYSAN
LA BARONNE
LE PAYSAN
LA MARQUISE
LE COMTE
LE PAYSAN
LE COMTE
LA MARQUISE
LE PAYSAN
LA MARQUISE
LA BARONNE
LE PAYSAN, à la Marquise.
LE COMTE
LA MARQUISE
LE COMTE
LE PAYSAN
LA MARQUISE
LA BARONNE
LE COMTE
LE PAYSAN, tirant la bourse et le paquet.
LE COMTE
LE PAYSAN
LE COMTE
LE PAYSAN
LE COMTE
LA MARQUISE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
LE COMTE
LA MARQUISE
LA BARONNE
LA MARQUISE
LA BARONNE
LA MARQUISE
LA BARONNE
LE COMTE
LA MARQUISE
LA BARONNE
LE COMTE, après un silence.
LA BARONNE
LA MARQUISE
LA BARONNE
LE COMTE
LA BARONNE
SCÈNE VII. Le Comte, La Marquise, Philippe Hombert. §
LE COMTE
LA MARQUISE
SCÈNE VIII. Le Comte, La Marquise, Nanine, Philippe Hombert. §
LE COMTE, à sa mère.
LA MARQUISE
NANINE, courant entre les bras de Philippe Hombert, après s’être baissée devant la Marquise.
PHILIPPE HOMBERT
LE COMTE
NANINE
LE COMTE
PHILIPPE HOMBERT
NANINE, à son père.
LE COMTE
NANINE
LA MARQUISE
PHILIPPE HOMBERT
LE COMTE, à sa mère.
LA MARQUISE
LE COMTE
PHILIPPE HOMBERT
LE COMTE
LA MARQUISE
LE COMTE
NANINE
LA MARQUISE
NANINE
LA MARQUISE