publié par Paul FIEVRE Juin 2010
Comme on ne saurait vous parler, monsieur, je prends le parti de vous écrire.
Vous venez d’échouer dans l’affaire en question, pour avoir trop parlé et n’avoir pas assez agi, et faute de vous être rendu chez moi quand je vous ai envoyé mon laquais.
Vous n’en sauriez douter, puisque Valère vient d’obtenir le gouvernement par l’entremise de la personne chez qui je devais vous mener ce matin.
L’abbé BRIFFART.